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[EV][LT] Le bal [masqué] | |
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Jeu 28 Mar - 0:06 Rappel du premier message : Lieu précis : Inconnu Date et heure : matin du lundi 1e avril 2019 Résumé : Vous vous êtes couchés hier soir, c’était une journée normale. Vous vous êtes endormis, vous avez rêvés. Et là, vous vous réveillés dans un lit blanc, draps blancs, housse blanche. Vous portez une tenue de bal rococo, de la même couleur que vos yeux. Des chaussures de fêtes noires vous attendent au pied du lit blanc. Statut : Event Tours : Tours Titre du RP : Le bal [masqué] Introduction : Il existe vingt-quatre de ces pièces, placées en cercle autour d’une salle de bal. Chacun de vous est dans une pièce circulaire au sol et au mur blanc. Une partie du mur est en fait une vitre, donnant sur la salle de la bal. A côté de chaque lit se trouve une table de nuit cubique. La salle de bal est de forme plus ou moins rectangulaire. Elle est très colorée, avec des jolis rideaux, d’élégants sets de salon sur le côté, un merveilleux lustre, … rien ne vous dit pourquoi vous êtes ici, ou même où vous êtes.  | ||
| Auteur | Message | ||
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Mer 3 Avr - 3:37  Le Bal Suite à mon second message j’obtiens enfin une réponse. Est-ce grâce au collier qui a activé mon Doleym ? C’est possible, dans le doute je vais le garder. Bon j’attrape la photo accrochée à la table de nuit. Elle porte une inscription : « Salut Ilian-chou » Est-ce que c’est moi, Ilian-chou ? C’est fort possible. Ce garçon serait donc mon yeux rouges ? Intéressant. J’envoie un nouveau message sur le canal : {Merci de l’info même si je t’avoue que je m’en doutais un peu, pour le côté magique en tout cas. Et puis j’ai cru comprendre qu’on est dans une ville spéciale, en termes de population au moins. Mais dit moi, tu es ici avec moi ? Et qui es-tu ?} Je repère, tout en communiquant, une carte de visite au mur. Je la prends. Elle est souple. Mais ce qu’il y a d’inscrit de ressemble en rien aux informations d’une carte de visite. Quoique, sa semble donner une genre d’adresse. Il faut que je trouve où ça se trouve. {Dis-moi, tu connais la colline au brasier ? ou le royaume d’Eneyss ?} J’éspère qu’il/elle sait. J’ai repérer sous le lit boite mais je commence par essayer d’ouvrir mes chaussures. Je sens bien que la droite s’ouvre. Je n’ai pas de force levier, Merde ! Je reclipse de dit talon et secoue les deux chaussures près de mon oreille, histoire d’être sur. Bon, je vais continuer de chercher. Je vais bien finir par trouver. Je récupère la boite sous le lit et l’ouvre. 255 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
Mer 3 Avr - 3:50  Le Bal  Cela fait déjà quelques nuits que je dors de mieux en mieux. Sûrement car à présent je possède un lit ce qui n'était pas le cas ses dernières années mais aussi car je me sens plus...légère. Plus calme et apaisée, comme si j'arrivais petit à petit à me réconciliée avec moi même. Comme c'est agréable d'avoir des nuits pleines de repo-AIE ! | |||
| Mer 3 Avr - 3:55 Le Bal Lorsque j’ai saisi la clef j’ai crue percevoir une lumière venant de derrière la vitre mais j’avais trop peur pour regarder tout de suite. J’ai donc continué ma quête, comme si de rien n’étais, nourrissant l’espoir que c’était Opalie, qu’elle n’était plus qu’à quelques mètres de moi. Je ne parvenais pas à ouvrir le cube, cela malgré de nombreux efforts. Je saisi alors les chaussures et les secouent. L’une d’elles fait du bruit. Je tente donc de l’ouvrir de toutes mes forces, me servant de l’autre talon pour avoir plus de force sans me faire mal. Je fini par frapper le talon contre la table de nuit pour le faire lâcher. Une fois que j’en ai eu fini avec la chaussure, je décide que démolir le lit me défoulera surement et, avec un peu de chance je vais y trouver un truc. J’ai alors décrochée ma broche et pour me servir de la pointe afin créer un légère entaille dans le coussin ainsi que la couette. Je raccroche ensuite le broche, comme si de rien n’était. Là, je saisi l’ouverture à deux main, une de chaque côté. Et scratch ! Il est complètement éventré. Après, je l’ai maintenu d’une main pour le fouiller avec l’autre. 205 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
 Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7264 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Mer 3 Avr - 4:27 ▼ ▲ Le Bal(239 mots) Tintallë semble vraiment déterminer à trouver des explications. Elle doit être vraiment agacée qu’on lui sucre son lundi matin de sommeil. En regardant sous le lit, elle a tout de suite repérer la boite, présente dans chaque chambre. Elle l’a prise et, dans elle a inspecté la table de chevet pour la poser dessus elle a trouvé une feuille, confondu avec le meuble, elle l’a pris. Une fois s’être confortablement installée, elle inspecte le bout de papier et les possibles inscriptions qui se cache de l’autre côté. Un fois le maximum d’informations recueillis, elle ouvre la boite d’une main et pose le papier à l’intérieur. Elle enchaine en vidant le contenue du tiroir dans cette même boite. En constatant la petite taille du tiroir, La rousse retire la boite et la pose sur le lit. Elle de relève et s’accroupie par terre devant le petit meuble, histoire d’être un peu plus à sa hauteur. Elle tâte le fond du tiroir avant de vérifier toute la table de nuit, moyennant de la renverser. Elle fait la même chose tout autour du lit. Ajoutant tout élément trouvé à la boite, qu’elle a maintenant posé par terre, devant la vitre. Calmement et avec toute la minutie du monde et s’attaque au mur. Elle par de la vitre et fait toute la pièce, dans le sens des aiguille d’une montre. On croirait qu’elle cherche un passage secret, et ce n’est pas totalement faux. | ||
| Mer 3 Avr - 11:13 Je met alors cette bague a mon doigt. J'avais au plus profond de moi un mélange nauséabond de sentiment négatif et violent. J'étais rempli d'une anxiété que je n'avais jamais ressenti avant, au point où j'en avais la nausée. J'avais peur, réellement. J'avais l'impression que la mort m'entourais. Tous mon corps tremblait, sûrement à cause de la pression. J'avais aussi de la tristesse et de l'incompréhension, pourquoi j'étais la. Qu'est ce que j'ai fait pour mériter ça. Mais lorsque je mi cette bague a mon doigt. Tous disparu d'un coup. Et je fus d'abord empli d'un sentiment de plénitude. Presque de satisfaction je me sentais libéré de mes sentiments. J'en venais presque à devenir accro à ça. J'avais même des intuitions géniales qui venaient à moi. Je me met alors à chercher dans mes vêtements voir si je pouvais trouver quelques chose. Et puis je sentait que quelques choses allait bientôt se passe avec ce haut parleur Mais au bout de quelques secondes ma tête se mis à tourner, et mon doigt a me brûler "Le fameux un grand pouvoir implique de grande responsabilité blablabla" Je me sentais comme possédé, dans les moments ou j'avais ces intuition, c'est comme si j'étais contrôler par quelqu'un d'autre. Mes mouvements se faisaient tous seul. Et ça venais presque à m'angoisser.Je retire alors la bague Tous ceci commence à être dangereux. Bien qu'est ce que j'ai bien pu trouver. J'attendais lors avec impatience ce qui allait arrivé. Même si j'étais angoissé, que mon ventre se forfait littéralement. Cette bague me rassurait... un peu. Poir la suite il faudra coopérer. La clé ainsi que la bague en poche je me sentais prêt a affronter ce qui allait arriver. Enfin je le redoutais moins qu'il y a quelques minutes | |||
| Mer 3 Avr - 13:56 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Ileana Zulian.
Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Eloane Lesoi.
Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Perle LeParc.
Indication : vous ne vous entendez pas mutuellement. Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Tintallë Thalos.
Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Samui Lafleur.
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Mer 3 Avr - 15:47  Le bal [masqué]    
J'avais passé la nuit dans le Dolorey Onirique, comme d'habitude, avec Damien. Il avait passé son temps à fouiner partout, et je l'avais observé en riant. Mais quelque chose changeait, cette fois. Au lieu de me réveiller en pyjama nounours dans mon appartement, je me suis réveillée ratatinée dans un corset. La pièce n'était pas ma chambre : elle ne sentait pas la cannelle. J'ouvrais difficilement les yeux mais fut tout de suite éblouie par la blancheur de la pièce. Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Une fois mes esprits repris, je m'étirais au mieux avec cette... robe ? Bon. Je suis enfermée dans une pièce circulaire, avec une grande baie-vitrée, un lit et une table de nuit, en robe de bal ? Réfléchis, Charlotte. Est-ce que tu as lu ça dans les archives d'Edward. Hum... sans doute. Parfait. J'avais compris où j'étais, à peu près. Ma mémoire concernant ces archives était très floue. Quoi qu'il en soit, je savais que Damien et Edward me seraient reconnaissants si je fouinais au mieux. Je me mis donc au travail le plus tôt possible. 1E étape : se repérer. Donc. Je suis dans un angle. Hum... pas facile. Au moins, je reconnais des visages : Tintallë Thalos, Ileana Zulian, Ionia Whispers et quelque autres personnes. Je pris une grande inspiration avant de passer à la suite. Je tâtais systématiquement le mur, avec une grande attention, puis le sol. Je me penchais ensuite pour regarder sous le lit. Bingo ! J'en sortit une petite boite. A l'intérieur se cachait une pochette noire et un petit couteau. Pas mal, ma grande. Deuxième étape : les chaussures au pied du lit. J'y ai glissé ma main, je les ai tâté intégralement, j'ai tenté de tourner le talon. J'ai senti que le talon droit pouvait bouger. J'ai glissé le couteau et... bingo ! Il cachait une pièce étrange, qui s'évapora immédiatement au contact de ma main. Bon. On s'occupera de ça plus tard. Je ne sais pas combien de temps j'ai devant moi. Je m'appliquais alors à dépecer chaque partie du lit pour en tirer tout ce que je pouvais. Résultat : un cahier turquoise, un crayon à bois, un exemplaire de journal vieux et tâché, une serviette brodée, un bracelet-manchette en or ornée de pierres turquoise absolument magnifique et, le meilleur pour la fin, un cadenas. Quatrième étape : le tiroir. Il ne contenait qu'une broche avec mon nom et une clé décoré d'un éclair qui, je vous le donne en mille, ne rentrait pas dans le cadenas. J'ai entrepris de découper le tiroir : bingo. J'y ai trouvé un collier avec une joli pierre précieuse rose et une lettre. J'ai entrepris de retourner la table de nuit. En-dessous, il était inscrit, avec une encre pailletée : « Écoute les voix, elles veulent t'aider. » Bizarre. Je grimace, tant pis. Je repose la table de nuit et reprend mon souffle. Cinquième étape : moi-même. On se fiche des vitres, je retire ma robe. De toute façon, avec jupon, blouse et corset, ils ne verront rien. J'entreprends d'y trouver quelque chose et j'y parviens. Il y a... un petit éclair à accrocher dans les cheveux ? Sérieusement ? Ah ! Et il y a autre chose de cousu, comme une information brodé dans la doublure. 133.4. Aucune idée de ce que ça veut dire, mais je me le note dans un coin de la tête avant de me rhabiller. Sixième étape : le plafond. Je retire le matelas, pose la table de nuit sur le sommier, pose le matelas sur la table de nuit et me hisse avec un couteau en bouche pour chercher un défaut. Malheureusement, je ne sens rien et redescends. Bon. C'était déjà une bonne pioche. Etape 7 : me connecter au canal des Dolorey. Ça a l'air de marcher, puisque j'entends une voix familière demander : « Quelqu'un sait où je suis ? » Non, tu ne sais pas. Mais tu dois répondre. Réfléchis... Donnes-lui de quoi se rassurer. « C'est un endroit... magique, comme le Dolorey Onirique... heu... c'est un truc un peu particulier de Sainte Rosalie. » Je ne sais pas quoi dire d'autre. J'espère que ça suffira à cette autre personne. En tout cas, le contact a quelque chose de pratique. Dans ce genre de cas, il faut être capable de faire passer des infos. « Merci de l'info, même si je t'avoue que je m'en doutais un peu, pour le côté magique en tout cas. » Au moins, elle est habituée aux Dolorey. Elle doit avoir une bonne maîtrise... « Et puis j'ai cru comprendre qu'on est dans une ville spéciale, en terme de population au moins. Mais dit moi, tu es ici avec moi ? Et qui es-tu ? » Hum... qu'est-ce que je peux lui dire, sans rien risquer ? Pas mon nom, déjà. Je vais utiliser mon pseudo, par sécurité... « Je suis Lotti, on s'est peut-être déjà vu dans le canal des Dolorey. Et, si tu veux parler de la chambre blanche, oui, j'y suis. » Mais, alors que j'allais lui parler de ce qu'avais trouvé, elle demande : « Dis-moi, tu connais la colline au brasier ? Ou le royaume d'Eneyss ? » La colline ne me disait rien, mais Edward avait entendu parler du royaume. C'était quelque chose à propos des yeux rouges, je crois... « Heu... non, désolé... » Bon. Je vais avoir le temps d'ajouter quelque chose oui ou merde ? | |||
| Mer 3 Avr - 15:49 Récapitulatif du 1e tour : Tous les joueurs se sont levés à part Ophelia Klysalis, qui est finalement exclue de l'Event. Ils ont plus ou moins commencé les recherches. Tour 2 : Soudain, toutes les vitres blanchissent jusqu'à devenir opaque.
Finalement, la vitre redevient transparente, puis disparaît. Vous êtes libre. Seul la vitre d'Ophelia s'est noircie.  | |||
| Jeu 4 Avr - 22:55 Le Bal Au creux de mon talon droit se trouvait une pièce, qui disparut au contact de mes doigts. Le tintement venait certainement de son contact avec la bague qui se cachait également là. La pêche dans les couvertures m’a apporté l’élément clef que je cherchais : un couteau, mais pas que ! J’ai également trouvé un haut-parleur. En peaufinant mon exploration, j’ai même fini par trouver une adorable peluche pour Opalie. En la voyant, j’ai tout de suite voulu lui donner. Instinctivement, je me suis retournée et c’est là que je le l’ai vue disparaitre devant moi. La vitre c’est blanchie pour se changer en écran géant. Le désespoir commençait déjà à emplir à nouveau mon cœur. Mais c’est là que j’ai vu une chose que j’attendais depuis plus de onze années. J’ai reconnu cet éclat écarlate, je l’aurais reconnu entre mille. C’était toi ! Ma Scarlett était devant moi ! Mon cœur c’est emplie de joie. C’était comme retrouver ma mère. Non, c’était ça ! Je t’ai retrouvée, toi qui m’a emmenée vers la vie. Et comme dans un rêve tu t’es adressée à moi : « Bienvenu au bal d'Avril. Il y a un moyen de nous contacter caché quelque part. Ne t'inquiète pas pour ta fille, Perle, elle va bien. Tu pourras la voir dans un instant. Je ne t'en voudrais pas de ne pas chercher un moyen de me parler. Reste sur tes gardes. Tu vas survivre à ce bal, il faut y croire. En tout cas, je te promet qu'il n'arrivera rien à Opalie. » Ma Scarlett, comment pourrais-je ignorer cette invitation ? Tu me dis que je pourrais te parler, entendre ta voix. Je ne rêve que de ça depuis des années. Je vais trouver, je te le promets ! Tant que tu veille sur mon Opalie je n’ai pas peur pour elle. Je vais trouver. Déterminée par tes mots j’ai saisi mon couteau pour éventrer mon matelas avant de forcer la table de nuit. Je les ai fouillés. Et puis je suis allée embrasser ma fille et lui offerir la peluche et la tétine. Mais, très vite, je me suis rendu compte que Marceau ne m’avait pas rejoint. J’ai donc courue pour m’assurer qu’il allait bien. 372 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Ven 5 Avr - 1:24 Le Bal Pendant que je récupérais la carte de visite, pendant que je tentais de mon concentrer pour la lire, j’obtenue une réponse : « Je suis Lotti, on s'est peut-être déjà vu dans le canal des Dolorey. Et, si tu veux parler de la chambre blanche, oui, j'y suis. » Lotti… Effectivement, ce nom me dit quelque chose… Je crois qu’iel a les cheveux bleus. Pas de temps à perdre à réfléchir, je lui demande si iel connait la colline du Brasier ou le royaume d’Eneyss. Presque instantanément, j’obtiens une réponse : « Heu... non, désolé... » Dommage, j’attrape la boite de sous le lit et l’ouvre. J’y trouve une petite pochette, bien pratique pour y ranger ce que j’ai déjà trouver. Il y a également une petite boucle d’oreille. Je la passe, sans trop réfléchir, avnt de saisir le dernier élément : un couteau. Ça c’est un truc utile. Je vais l’utiliser sur ma chaussure ! Je l’attrape et, au même moment, j’entends une voix qui provient de la vitre. Je me retourne et voit le garçon de la photo. Ça doit être mon yeux rouge, au moins je sais à quoi il ressemble maintenant. « Coucou ma petite chérie. Bienvenu au bal d'Avril. C'est sympa de te rencontrer enfin. Tu sais que je t'observe depuis un moment ? De toutes mes recrues, tu es une mes préférées. Tu as préféré la passion à la douceur du foyer. C'est bien, ma chérie. La passion, c'est tout ce qui comptera à la fin, pas vrai ? Soit. Je tenais à te féliciter, alors, même si je ne suis pas vraiment sensé le faire, je vais t'offrir un moyen de me contacter, de nous contacter tous. Pas de mots trop cochon ma chérie, ok ? » C’est certain maintenant, c’est lui ! Et il m’aime bien, visiblement. Devant moi, le sol s’ouvre. Il se referme quelques secondes après, sous un micro de scène. Je suis curieuse maintenant, j’ai envie de lui parler. J’enfile le micro presque aussitôt. C’est là que je réalise, en la posant, que j’avais encore ma chaussure en main. Mais oui, je voulais l’ouvrir ! Le son d’un haut-parleur résonne : « Votre haut parleur fera raisonner le son du Dolorey Eveillé, à partir de maintenant. » J’ouvre mon talon, armée du couteau. Puis fond sur la table de chevet pour faire de même. Une seconde, votre haut-parleur, quelle haut-parleur ? 402 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Ven 5 Avr - 12:34 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Perle LeParc.
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Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7264 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Sam 6 Avr - 1:41 ▼ ▲ Le Bal(453 mots) Sur la feuille de la table de nuit se trouvait un sort. Oui, c’est curieux, mais c’est comme ça. Voici son intitulé exact : « Par la présente, la Bloody Queen atteste de son lien avec Tintallë Thalos et lui accorde une réponse. Toute personne lui refusant ce privilège recevra mes foudres. Avec mon amitié, Tintallë, je tiens à t'informer que ce mot brûlera après sa première utilisation. » Dans la boîte, où Tal range le sort, se trouve une pochette, un carnet et un crayon. Elle n’y prête pas attention pour le moment car elle s’emploie à vider le tiroir. Mais, elle se stoppa quand son regard fut pris de passion pour une pierre violette. Le caillou était fixé sur un collier. Avec la plus grande délicatesse, la rousse le prit. Son contacte la fit se sentir plus belle. Cependant, elle trouva plus judicieux de le ranger avec le reste pour le moment. Elle continua donc sa quête. Au fond du meuble, elle tomba sur une clef, blanche et un couteau de sugilite. La clef était surmontée d’un cœur, vraiment mignon. La danseuse déposa la clef dans la boite mais garda le couteau pour éventrer son lit plutôt que de simplement l’observer. Ensuite, elle fit le tour des murs. Quand elle arrivais enfin au bout, elle repéra une phrase, écrite au crayon : « Méfies-toi de chaque camarade, ils veulent tous ta mort. » Tal ne savait pas trop quoi en penser de cette avertissement , ni même si elle devait le prendre au sérieux. Elle glissa la boite à coté, s’assied devant. En bougeant, elle avait senti quelque chose, comme un poids dans sa chaussue, elle la retira et décida de démonter le talon pour vérifier. Un fois rassurée, elle entreprit d’inspecter chacun des objets, à commencer par le carnet. Alors qu’elle commençait à lire, elle fut interrompue par une voix familière. Elle se tourna vers l’écran qui avait remplacé la vitre et crue reconnaitre le visage de la femme aux yeux rouges qui lui parlait. « Je vous salue, Tintallë Thalos, Eloane Lesoi. Par la présente, je vous annonce officiellement la bienvenu au bal d'Avril. Il vous reste peu de temps pour prendre possession de ce qui se cache ici. Parmi tout ce que nous avons caché, une chose vous permettra de me contacter, de nous contacter tous. Vous devez rester méfiante, mes chères, et vous faire confiance. » Une question se posa dans la tête de Tintallë : Nous faire confiance à nous même ou entre nous ? Elle savait qu’elle n’aurait pas de réponse de décida donc de se concentrer son le carnet. « Votre haut-parleur fera raisonner le son du Dolorey Eveillé, à partir de maintenant. » | ||
| Sam 6 Avr - 15:22 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Tintallë Thalos.
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| Sam 6 Avr - 18:21 Au moment où je fouille mes affaires je trouve un couteau. Bon cette intuition était plus que bonne. Et je vois aussi écris un numéro… hm, c’est louche. Bon bah ça y est. J’ai un numéro de série. Bon c’est pas tous mais je vais enfin pourvoir ouvrir cette table de nuit et trouver le graal qui est a l’intérieur. Ça doit sûrement être le cadenas. Je me mets alors a chercher une fente ou un endroit fragile de la table de nuit afin d’utiliser le couteau et d’ouvrir cette fichu table qui m’aura donné tant de fil a retordre. « Bon je suis sur la bonne voie » Je me sentais un peu faible depuis que j’avais enlevé l’année et maintenant ce n’était plus les mêmes mots qui tournais en boucle dans ma tête « Remet cet anneau, retrouve cette puissance. Remet cet anneau retrouve cette puissance » C’était de plus en plus fort. Et c’était pour moi de plus en plus dur de me concentrer. Aah, cette voie commence a me taper sur le système. A ce moment la je me met a sursauté. J’entend cette voix, celle que j’avais aussi entendu ce fameux soir. Ok je définitivement dans un cauchemar. Cette yeux rouge… elle a vraiment un charactère horrible, je suis donc un jouet. C’est sympa bah enchanté moi c’est 6766.223.B. et toi ? J’essayais de me faire rire et de me détendre. Je suis crispé comme je ne l’avais jamais été auparavant. Et la seule chose que je veux faire la tous de suite…. C’est mettre cet anneau. Il pourrait me délivrer. Qui plus est l’autre chose flippante viens de me dire que mes chances de m’enfuit était mince… super motivant. Je vois alors le sol s’ouvrir et je prends le micro que j’accroche a mon oreille. Hm je pense qu’il sert a contacter son yeux rouge. « Tu ferais peut-être bien de prendre soin de tes jouets, certains peuvent avoir de la valeur. Du coup je m’appel 6766.223.B. c’est mignon. » Si ça sert a contacter… elle, je ne vois pas comment elle pourrais résister a cette provocation. Sinon j’essaierai de dire certains codes que j’ai vu peut-être qu’ils servent à ça. | |||
| Sam 6 Avr - 19:17 Message à tous : Votre haut parleur –que vous l’ayez trouvé ou non- se met à émettre une lumière noire. Soudain, vous entendez la voix de Samui : « Tu ferais peut-être bien de prendre soin de tes jouets, certains peuvent avoir de la valeur. Du coup je m’appel 6766.223.B. c’est mignon. » Le haut parleur s’éteint, vous entendez une première personne rire, puis une deuxième dire, la voix très amusée : « Il est suicidaire. » Puis la voix du yeux rouge FIL-006 déclarer d’un ton sec : « Je prends suffisamment soin de mes jouets, petit arrogant. » Les deux premières voix se mettent à éclater de rire à l’unisson.
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| Lun 8 Avr - 8:18 Une fois le couteau en main j'execute mon plan et tous se passe à merveille. J'ai enfin ce fichu cadenas. Cette chose que je pourchase depuis le début. Mais bon, même si je suis sur a 100% qu'elle ne rentre pas dedans. Et.... bingo. Bon maintenant allons faire cette chose qui me semble si stupide mais si nécessaire. A quoi peut bien servir ce micro. Parler a mon yeux rouge ou bien aux autres. Je met alors mon plan en action et dit ce qui me passe par la tête. C'est alors que je reste en apne durant quelques secondes. Si je ne me fait pas foudroyer sur place c'est bon signe. Bien elle m'a répondu, j'ai toujours cette boule au ventre. Je sert alors fort la bague qui est dans ma poche. Bien Samui prend ton courage a deux mains. Qu'est ce que tu va bien pouvoir leur dire. Avengers rassemblement ? "Bien j'ai cru comprendre que ce micro pouvais me servir à communiquer avec les personnes des autres pièces. Bien je me présente rapidement Samui Lafleur." Qu'ils se souviennent quand même du nom de leur sauveur au cas où ils voudraient faire des cadeaux. "Pour les moins bêtes d'entre vous, Vous avez du comprendre que nous sommes dans un genre de jeu tordu où l'on doit s'échapper. Vous devez tous avoir une clé et un cadenas dans votre pièce, ceci étant peut être caché." Bien trouve un plan pour les crétins incapable de trouver ce qu'il y a sous leur nez. "Je vous invite tous à sortir de votre pièce avec ces 2 éléments, si vous les avez allez aider la personne de droite à trouver les siens. Nous devons tous avoir la clé qui convient au cadenas d'un autre. Mieux on coopère, et plus vite on sortira d'ici" Bien j'espère ne pas avoir dit trop de bêtise. Et j'espère aussi que l'autre aux yeux rouge ne va pas encore s'énerver. Pitié me tue pas. Je me dirige alors vers la pièce centrale en espérant que les autres ne soit pas trop têtu. | |||
| Lun 8 Avr - 14:34 Message à tous : Votre haut parleur –que vous l’ayez trouvé ou non- se met à émettre une lumière noire. Soudain, vous entendez la voix de Samui : « Bien j'ai cru comprendre que ce micro pouvais me servir à communiquer avec les personnes des autres pièces. Bien je me présente rapidement Samui Lafleur. Pour les moins bêtes d'entre vous, Vous avez du comprendre que nous sommes dans un genre de jeu tordu où l'on doit s'échapper. Vous devez tous avoir une clé et un cadenas dans votre pièce, ceci étant peut être caché. Je vous invite tous à sortir de votre pièce avec ces 2 éléments, si vous les avez allez aider la personne de droite à trouver les siens. Nous devons tous avoir la clé qui convient au cadenas d'un autre. Mieux on coopère, et plus vite on sortira d'ici » Le haut parleur s'éteint. Un nouveau rire retentit. C'est une voix de verre qui se brise, une voix de fille blessé, elle a l'air perpétuellement triste. « Alors, Yann, il ment ou pas ? » La deuxième voix de tout à l'heure répond. Elle est emprunte de sagesse, comme celle d'une vieille femme qui pourrait vous expliquer le sens de la vie : « Plus ou moins, Zola chérie. Mais continue de faire ce qu'on t'a dit. Tu sortiras quand tu auras fini. D'accord ? » Le haut parleur s'allume en bleu. Une voix d'adulte tousse. « Ok. Le gamin a dit que le micro fonctionnait pour parler. Heu... je crois pas qu'on puisse rentrer dans les chambres des autres. C'était ce qu'il y avait écrit sous ma table de nuit en tout cas... » Message privé :
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| Mar 9 Avr - 14:15 Nombre d'entre vous ont oublié ou juste ignoré la deuxième voix que vous entendez. Vous ne pouvez pas. Vous l'entendez et elle vous tire de toute concentration. Vous ne pouvez pas vous empêcher de l'écouter et elle vous séduit. S'en est magique, à ce stade. Merci de bien vouloir tenir compte de cette remarque, faute de quoi vous subirez des malus. -Le Destin | |||
| Mar 9 Avr - 20:56 Le Bal J’ai passé la boucle d’oreille et saisi le couteau dans la seconde. Mais là, j’ai ressentie une envie violente de mourir, comme écraser entre les mensonges que je profère et la violence de cette réalité pour laquelle mes parents pourraient m’enfermer à vie. Je tremble de tout mon être, recule d’un pas. Le couteau fait un violent bruit, par la force du silence présent, en heurtant le sol. Avec tout le mal du monde j’arrache mes bijoux et mes vêtements. J’y cherche ce qui m’étouffait plus que le corset. Le sentiment réduit quand je parviens à retirer ma boucle d’oreille. Pourtant je ressens le besoin d’arracher quand même mes vêtements, pour pouvoir respirer. Je me contiens, consciente d’être à coté une vitre. Je range le collier et la boucle dans la pochette et ramasse le couteau, toujours tremblante. Je suis en train de retirer mes chaussures quand je vois la vitre blanchir. En quelques secondes, elle est devenue complètement opaque et affiche l’image du garçon de la photo. Il s’adresse à moi, visiblement : « Coucou ma petite chérie. Bienvenu au bal d'Avril. C'est sympa de te rencontrer enfin. Tu sais que je t'observe depuis un moment ? De toutes mes recrues, tu es une mes préférées. Tu as préféré la passion à la douceur du foyer. C'est bien, ma chérie. La passion, c'est tout ce qui comptera à la fin, pas vrai ? Soit. Je tenais à te féliciter, alors, même si je ne suis pas vraiment sensé le faire, je vais t'offrir un moyen de me contacter, de nous contacter tous. Pas de mots trop cochon ma chérie, ok ? » Pendant qu’il me parle, priant pour qu’il ne me voie pas, je démonte la chaussure. J’y trouve une petite pièce. A peine est-elle arrivée dans ma main que je l’ai vue disparaitre. La perle brune resta dans ma main. Je décide donc de la ranger avec mes bijoux. Tout en faisant cela, je tentais de découvrir d’où venait cette voix. Je n’ai pas trouvé, dommage. La voix cesse et un micro sort du sol. Intéressant… Je l’accroche à mon oreille te démonte ma boite blanche qui sert de table de chevet. Je n’ai pas le temps de contempler ma trouvaille qu’une voix m’appel. « Votre haut parleur fera raisonner le son du Dolorey Eveillé, à partir de maintenant. » Je voudrais me concentrer sou mes recherche mais je ne sais même plus vraiment ce que je cherchais, tout ce que je sais c’est que je dois trouver cette voix. Je me dirige donc vers l’origine du bruit. Je casse les meubles sur mon passage pour trouver d’où vient cette voix. Une fois le dit haut-parleur trouvé je le pose au sol, à l’abri. Je cherche, au fond de moi, tout la concentration qu’il me reste pour récupérer le contenue du petit meuble blanc, rangeant le tout dans le petit sac, bien trop plein. Je me racle la gorge et demande aux Dolorey : {Quelqu’un sais à qui appartiens la voix du haut-parleur ?} Je n’arrive pas à me la sortir de la tête, c’est extrêmement perturbant… Tout en y réfléchissant, je poursuis, machinalement ma quête d’objets. Je réalise que pour avoir une réponse plus large je devrais demander à mon micro : « Je crois que la voix du haut-parleur est magique, vous savez d’où elle vient ? » J’espère que ça va suffire. 567 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Mar 9 Avr - 21:14 Votre haut parleur –que vous l’ayez trouvé ou non- se met à émettre une lumière noire. Soudain, vous entendez la voix de Samui : « Tu ferais peut-être bien de prendre soin de tes jouets, certains peuvent avoir de la valeur. Du coup je m’appel 6766.223.B. c’est mignon. » Le haut parleur s’éteint, vous entendez une première personne rire, puis une deuxième dire, la voix très amusée : « Il est suicidaire. » Puis la voix du yeux rouge FIL-006 déclarer d’un ton sec : « Je prends suffisamment soin de mes jouets, petit arrogant. » Les deux premières voix se mettent à éclater de rire à l’unisson. Il se met ensuite à émettre une voix brumeuse : « Quelqu'un sait à qui appartient la voix du haut parleur ? » Un silence s'en suit, puis le haut parleur se met à émettre une lumière noire. Soudain, vous entendez la voix de Samui : « Bien j'ai cru comprendre que ce micro pouvais me servir à communiquer avec les personnes des autres pièces. Bien je me présente rapidement Samui Lafleur. Pour les moins bêtes d'entre vous, Vous avez du comprendre que nous sommes dans un genre de jeu tordu où l'on doit s'échapper. Vous devez tous avoir une clé et un cadenas dans votre pièce, ceci étant peut être caché. Je vous invite tous à sortir de votre pièce avec ces 2 éléments, si vous les avez allez aider la personne de droite à trouver les siens. Nous devons tous avoir la clé qui convient au cadenas d'un autre. Mieux on coopère, et plus vite on sortira d'ici » Le haut parleur s'éteint. Un nouveau rire retentit. C'est une voix de verre qui se brise, une voix de fille blessé, elle a l'air perpétuellement triste. « Alors, Yann, il ment ou pas ? » La deuxième voix de tout à l'heure répond. Elle est emprunte de sagesse, comme celle d'une vieille femme qui pourrait vous expliquer le sens de la vie : « Plus ou moins, Zola chérie. Mais continue de faire ce qu'on t'a dit. Tu sortiras quand tu auras fini. D'accord ? » Le haut parleur s'allume en bleu. Une voix d'adulte tousse. « Ok. Le gamin a dit que le micro fonctionnait pour parler. Heu... je crois pas qu'on puisse rentrer dans les chambres des autres. C'était ce qu'il y avait écrit sous ma table de nuit en tout cas... » Le haut parleur s'éteint une seconde, puis il s'allume en marron et la voix d'Ileana retentit : « Je crois que la voix du haut parleur est magique, vous savez d'où elle vient ? » La couleur du haut parleur passe au violet : « Je sais pas d'où elle vient, mais je l'aime. » Les deux premières voix éclatent à nouveau de rire. La première déclare, toujours amusée : « Oui, elle est effectivement magique. »
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 Sally Whispers L'Ami Pouvoir : [Passif] Quand on regarde Sally, on voit la personne à laquelle on tient le plus au monde. Cette personne peut être une fille ou un garçon, jeune ou vieille, vivante ou morte, peu importe. Cette personne porte les vêtements de Sally. L'illusion n'est qu'une image, au touché, Sally est toujours Sally. ça ne fonctionne pas sur les photo/vidéos. ça fonctionne sur les reflets. La voix et les expressions sont celles de Sally. Messages : 144 Points : 4008 Date d'inscription : 15/06/2018 | Mer 10 Avr - 15:31 Le bal [masqué] Dans tes yeux brille le sang pour toi écoulé, dans mon coeur brûle encore ton souvenir déchiré Quand tes mains sur mon corps tentaient de me sauver. Je ne puis me défaire de ces douces pensées Et mon coeur qui se serre appel, étranglé, dans un souffle sincère, ton nom si éloigné L'espoir illumina mon cœur à cette idée, et je me dépêchais de trouver une porte. Mais il n'y avait nul part où entrer la clé... Mon amour, qu'est-ce que je dois faire pour te retrouver ? J'ai besoin de toi... je ne peux pas le trouver toute seule... je ne suis pas capable... je... Soudain, quand mes yeux se noient, la vitre blanchit. C'est comme si... comme si elle protégeait la fête de mon visage. Oui. Ces gens ne veulent pas me voir. Une larme fuit, dans un espoir vain d'atteindre l'extérieur. J'ai envie de sauter sur la vitre, de me mettre à genou, de supplier... mais je ne peux pas... et je ne dois pas... il ne faut pas que je ploie le genou devant quelqu'un d'autre que toi... c'est mal... très mal... Un visage apparaît. Il a les cheveux blancs comme la neige et les yeux rouge comme les tiens. Il sourit largement en me voyant, comme si... comme s'il ne voyait que moi. Je le fixe sans comprendre. Est-ce qu'il te connaît ? Es-t-il ton ami ? « Sally salut ! Ça va ? » Je me fige. Tout mon corps est parcouru de frisson. La peur ronge ma peau et s'infiltre dans ma chair. Je sens une vague de froid. Tout mon être est terrifié, face à lui. Il me sourit, l'air heureux, et je tremble. Au secours, Roydon. « Bon. On me dit dans mon oreillette que je divague, les filles. » Les filles ? Je ne peux m'empêcher de regarder tout autour de moi. Les filles ? Ne suis-je pas seule ? Où est sensé être l'autre fille ? Sont-elles plusieurs ? Pourquoi je ne les voit pas ? « Du calme, Sally. Tout va bien... » Il sourit. Il se moque. Il se joue de moi. Roydon ! A l'aide ! Il se joue de moi ! « Bienvenu au bal d'avril, ma petite puce. » Petite puce ? Qu'est-ce que cela signifie ? J'ai peur. Ils vont me tuer. L'air s'échappe. Il le happe, il me prive d'air. C'est comme si... comme si un mur me séparait du monde. J'ai mal. J'ai peur. Mon cœur veut te rejoindre, Roydon... « Je dois te dire que tu peux trouver un moyen de te contacter dans ta chambre... » Je hoche la tête mais sa voix a flotté loin de mon esprit. Je suis à un bal. Je ne peux pas être à un bal ! Votre compagnie m'est nécessaire ! Roydon... je suis perdue... reviens moi... je vais mourir sans toi... Une autre larme veut te rejoindre. J'ai mal. « Je suis désolée, ma puce... on se dit à tout à l'heure ? » L'image se brouille. J'ai la sensation que c'est moi. C'est moi qui me brouille. Le petit garçon a disparu. Il est comme mon âme. Mon âme est au chevet de sa sœur. Et sa sœur est en toi. Et tu n'es pas là. Roydon, il faut que tu sois là... « Votre haut parleur fera raisonner le son du Dolorey Eveillé, à partir de maintenant. » Mon cœur accélère et ralentit. Mon souffle me revient et me quitte. Je fixe la vitre et je ne désire que le visage derrière cette voix. Elle existe, n'est-ce pas ? Peu importe, au final. Quand je l'entends, je n'ai plus de problème. Elle est là, douce, elle m'enserre et m'enlace. Je sens dans sa caresse magnifique un petit peu de toi. Je veux la voir, mais je la sens si loin... Que veut-elle me dire ? Je veux comprendre, j'en ai besoin... je veux la trouver et, comme si on m'exauçait, la vitre se baisse. Je me retourne une dernière fois et trouve une pochette posée sur le lit avec un carnet ouvert sur un mot : « 1e Avril 2019, Sally Whispers : Emmène cette pochette, Sally. » Je... qu'est-ce que... est-ce que c'est la voix ? Est-ce que c'est l'autre fille ? Je ne comprends pas... mes mains se referment machinalement sur la pochette. Qui a écris ça ? J'ai déjà vu... cette écriture... en Allemagne, sur la vieille chaise, il était inscrit « Chaise de Salomé. Prière de ne pas vous y asseoir. ». Mais... Salomé est une légende de l'orphelinat... c'est... Je sursaute quand mon lit se met à briller de noir et à me parler : « Tu ferais peut-être bien de prendre soin de tes jouets » Que veut dire mon lit ? J'ai fais une erreur ? J'ai fais une bêtise ? Je titube et tombe en arrière. La pochette se ratatine à côté de ma jupe dans un son mat. Devant moi, le matelas se déchire et la voix raisonne à nouveau : « Certains peuvent avoir de la valeur. » Roydon. Cette voix connaît Roydon. J'attrape ma perruque et mes doigts s'y emmêlent. Oui. Roydon était précieux... et... et je n'y ai pas fait attention... et maintenant mon jouet et cassé... c'est ça ? Mais tu as tort ! Roydon n'a jamais été mon jouet ! « Du coups je m'appel 6766.223.B. » La lumière s'évanouit devant tant de chiffres. Que.... que dis-t-il ? Quel nom étrange... comment puis-je le mémoriser... je le dois... il serait malvenu d'écorcher le nom d'un de tes amis mais.... mais il t'a traité de jouet... ne sait-il pas que j'ai toujours été le jouet ? Pourquoi vous rabaisse-t-il à ma condition ? « Il est suicidaire. » Vous voulez dire... comme ma mère ? Je vois... je comprends... il... il rabaisse Roydon dans l'espoir qu'il le tue.. c'est malin, je dois dire... mais... mais ce n'est pas une raison de le rabaisser ! « Je prend suffisamment soin de mes jouets, petit arrogant. » Êtes-vous folle ? Je ne pourrais jamais lui dire une chose pareil... je veux dire... je n'ai même pas de jouet dont je dois prendre soin... ça n'a aucun sens... Qu'est-ce que ce rire ? Vous vous moquez ? Tout le monde ici a un jouet... sauf moi ? Suis-je le jouet de Salomé, dans ce cas ? Une larme roule, parce qu'elle ne supporte pas l'idée qu'elle puisse voir Roydon, que je ne le puisse pas... J'ai mal et mon cœur est compressé entre mes cotes. Comment ai-je pu devenir le jouet de quelqu'un d'autre... « Quelqu'un sait à qui appartient la voix du haut parleur ? » Laquelle ? La voix merveilleuse ? Le câlin musical ? J'aimerais tellement le savoir... Mais je ne le sais pas... je suis tellement désolée pour cette personne. A sa voix de brume, je devine qu'elle mérite bien plus cette voix que moi. Mais nous devons la poursuivre... cette voix doit savoir... « Bien. » Le matelas s'est remis à briller. Non. C'était un boîtier noir et rose-violet. Il était posé au milieu des débris. Je recule, toujours assise par terre, terrifiée. « J'ai cru comprendre que ce micro pouvait me servir à communiquer avec les personnes des autres pièces. » Le... la boîte... la voix... est dans une autre pièce ? Je regarde autour de moi, en reculant lentement vers l'extérieur. Je ne peux pas détacher mon regard de la lumière noire. D'où vient-il ? « Bien, je me présente rapidement : Samui Lafleur. » Mon cœur se relâche et je me laisse tomber en arrière. Ma perruque dépasse hors de la pièce. Je me retrouve face aux perles du plafond. Mon cœur tambourine, il veut sortir. C'est un pensionnaire qui parle... le menteur... le simulacre d'ange... « Pour les moins bêtes d'entre vous, vous avez dû comprendre que nous sommes dans un genre de jeu tordu où l'on doit s'échapper. » Je ne pense pas que ça soit un jeu tordu... Mais... mais alors... je ne suis pas des moins bêtes ? Les intelligents savent-ils ce genre de chose ? Je veux dire... ils... ils le sentent... ? « Vous devez tous avoir une clé et un cadenas dans votre pièce, ceci peut être caché. » Le cahier tombe à mes pieds, quand je constate que la pièce est retournée. Une nouvelle inscription s'est ajoutée au carnet : « On a tout sur nous » Je déglutis. Salomé... agit comme un fantôme... ? « Je vous invite tous de sortir de votre pièce avec ces 2 éléments. » Immédiatement, j'attrape la pochette et me rue dehors en glissant, haletante, écrasée devant l'entrée de la chambre. Quelques minutes plus tard, je sens quelque chose passer à côté de moi, et j'entends la vitre. En me retournant, je devine à ton reflet que la vitre est de retour. « Si vous les avez, allez aider la personne de droite à trouver les siens. » Le cahier se retrouve poser face à moi, avec un nouveau mot : « Écoute-le. » Je m’exécute, et vais voir à ma droite. Il y a une brune dans une belle robe rouge, appuyée contre sa vitre, qui cherche quelqu'un. Je reste au sol, immobile. Qu'est-ce que je dois faire ? « Mieux on coopère, et plus vite on sortira d'ici. » La voix me paraît lointaine, je ne l'entends presque plus. Là, je sens qu'on empoigne mon bras et qu'on me tire vers un fauteuil blanc. On m'y pousse. Je ne bouge pas. Salomé décidera. Elle est proche de Roydon. Elle le représente sans doute. | ||
| Mer 10 Avr - 18:34 Le Bal J’avais récupérée le contenue de mes meubles. J’étais en train de m’énerver qu’on ose prétendre que tu voudrais me tuer alors que c’est toi qui m’as offert la vie. C’est là que je me suis faite percutée par une voix atrocement magnétique. Elle m’a fait oublier toutes existences : Celle d’Opalie, celle de Marceau, celle d’Iris-Disis et même la tienne. Comme je m’en veux qu’elle ait réussi à te sortir de mon esprit… Elle n’avait pourtant rien dit d’exceptionnelle. Je cherchais encore un moyen de la trouver quand la voix d’un garçon me rappela à la réalité : « Tu ferais peut-être bien de prendre soin de tes jouets, certains peuvent avoir de la valeur. Du coup je m’appel 6766.223.B. c’est mignon. » Je me suis retrouvée immédiatement dans un flou total, un garçon qui porte comme nom un numéro d’identification, c’est super bizarre. Puis, je me suis demandé où j’étais, pendant que des gens continuais de parler dans mon haut-parleur. Je reconnu, un peu plus tard, la voix du garçon a l’identifiant : il s’appelle Samui Lafleur. Une clef et un cadenas ? J’ai ça, mais je ne vois pas ce que tu comptes en faire. J’ai subitement réalisé que je n’avais même pas essayé d’ouvrir le cadenas avec la clef, j’ai donc tenté, sans succès. En revanche Je n’avais aucune raison d’écouter ce type. Je retrouvais, au fur et à mesure, conscience de la situation. Je me suis assurée, visuellement d’avoir tout fouillé. Je me suis tournée vers la vitre, sans sortir de la chambre, pour repérer Marceau. Je mourrais d’envie d’aller l’aider mais je n’avais toujours pas trouvé comment te parler. Je me suis à nouveau tournée vers la chambre. J’ai réuni toute les affaires que je pouvais dans la pochette. Quand j’eu le carnet et le crayon en main je les mis de côté. Une fois le petit sac remplie, je me suis assise sur le sommier et j’ai commencé à lire. La pochette était posée sur les genoux, le cahier ouvert dans les mains et le crayon maintenu derrière par l’une d’elles. 347 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Mer 10 Avr - 19:35 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Perle LeParc.
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Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7264 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Jeu 11 Avr - 2:14 ▼ ▲ Le Bal(575 mots) Tintallë avais à peine fini la première page qu’elle fut envoutée par une voix aussi magique que son visage. « Votre haut-parleur fera raisonner le son du Dolorey Eveillé, à partir de maintenant. » Ces quelques mots étaient comme un chant à ses oreilles. Elle ne pensait plus qu’à cette voix, victime toute la souffrance que l’amour procure, subissant le pouvoir du charme. Elle était tellement prise par l’idée de rejoindre son propriétaire qu’elle n’entendait quasiment pas les voix et les rires s’échappant du Haut-parleur Violet-noir. Elle n’entendait rien jusqu’à ce qu’elle réalise que les voix provienne du même endroit que la voix mélodieuse. « Bien je me présente rapidement Samui Lafleur. » Ce nom tiqua immédiatement à l’oreille de la belle danseuse. Elle avait déjà vue ce garçon au pensionnat, il y est depuis quelques temps, c’est certain. Tal se rendit alors compte qu’il est dans cette curieuse multisalle aussi. Elle décide donc d’écouter la conversation quelques instants, à la recherche d’indices dans leurs paroles. « Pour les moins bêtes d'entre vous, Vous avez du comprendre que nous sommes dans un genre de jeu tordu où l'on doit s'échapper. Vous devez tous avoir une clé et un cadenas dans votre pièce, ceci étant peut être caché. Je vous invite tous à sortir de votre pièce avec ces 2 éléments, si vous les avez allez aider la personne de droite à trouver les siens. Nous devons tous avoir la clé qui convient au cadenas d'un autre. Mieux on coopère, et plus vite on sortira d'ici. » La rousse réfléchis, comment savoir s’il faut lui faire confiance, ou même le prendre au sérieux. Après tout, il est plutôt suspect, et semble plutôt désaccordé. Tin’ et lui n’ont pas eu beaucoup d’occasion de se croiser mais elle n’en gardait pas la meilleur impression du monde. Mais bon, on ne sait jamais. Quoi qu’il en soit, pour le moment en tout cas, Tal à décider de ne faire confiance qu’à elle et la fameuse Eloane. Prénom qu’elle connait également, c’est la camarade de chambre de la petite Sally. D’ailleurs, la belle ne le sait pas encore mais elle est ici aussi. Trop prise par sa réflexion, elle oublia d’écouter le haut-parleur et cherchais à reprendre le fils. « Ok. Le gamin a dit que le micro fonctionnait pour parler. Heu... je crois pas qu'on puisse rentrer dans les chambres des autres. C'était ce qu'il y avait écrit sous ma table de nuit en tout cas... _Je crois que la voix du haut parleur est magique, vous savez d'où elle vient ? _Je sais pas d'où elle vient, mais je l'aime. » Un rire retenti alors et des cheveux roux ondulèrent quand un soupir s’échappa des lèvres parfaites de l’allumeuse. Soulageant notre perfection triste, une voix brisée de tristesse répondit : « Oui, elle est effectivement magique. » Ces quelques mots ramenèrent la vie dans les yeux Sugilites. Ils cherchaient maintenant, frénétiquement, le cadenas et la clef du regard. Des doigts gracieux tentèrent de les unir, en vain. Un nouveau soupir s’échappa. Tintallë rempli la pochette : - Le cadenas - La clef - Le collier - La feuille de sort qu’elle enroula préalablement - Le couteau - La perle - Le haut-parleur - Le crayon Un fois le sac plein elle se leva et se dirigea, livre et pochette en main, vers la salle. Elle repère un siège et s’y installe pour lire, le lit étant trop démolit. | ||
| Jeu 11 Avr - 15:25 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Tintallë Thalos.
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