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[EV][LT] Le bal [masqué] | |
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Jeu 28 Mar - 0:06 Lieu précis : Inconnu Date et heure : matin du lundi 1e avril 2019 Résumé : Vous vous êtes couchés hier soir, c’était une journée normale. Vous vous êtes endormis, vous avez rêvés. Et là, vous vous réveillés dans un lit blanc, draps blancs, housse blanche. Vous portez une tenue de bal rococo, de la même couleur que vos yeux. Des chaussures de fêtes noires vous attendent au pied du lit blanc. Statut : Event Tours : Tours Titre du RP : Le bal [masqué] Introduction : Il existe vingt-quatre de ces pièces, placées en cercle autour d’une salle de bal. Chacun de vous est dans une pièce circulaire au sol et au mur blanc. Une partie du mur est en fait une vitre, donnant sur la salle de la bal. A côté de chaque lit se trouve une table de nuit cubique. La salle de bal est de forme plus ou moins rectangulaire. Elle est très colorée, avec des jolis rideaux, d’élégants sets de salon sur le côté, un merveilleux lustre, … rien ne vous dit pourquoi vous êtes ici, ou même où vous êtes.  | |||
 Sally Whispers L'Ami Pouvoir : [Passif] Quand on regarde Sally, on voit la personne à laquelle on tient le plus au monde. Cette personne peut être une fille ou un garçon, jeune ou vieille, vivante ou morte, peu importe. Cette personne porte les vêtements de Sally. L'illusion n'est qu'une image, au touché, Sally est toujours Sally. ça ne fonctionne pas sur les photo/vidéos. ça fonctionne sur les reflets. La voix et les expressions sont celles de Sally. Messages : 144 Points : 3995 Date d'inscription : 15/06/2018 | Jeu 28 Mar - 6:38  Le bal [masqué] Dans tes yeux brille le sang pour toi écoulé, dans mon coeur brûle encore ton souvenir déchiré Quand tes mains sur mon corps tentaient de me sauver. Je ne puis me défaire de ces douces pensées Et mon coeur qui se serre appel, étranglé, dans un souffle sincère, ton nom si éloigné Tu étais là l'instant d'avant, ma main dans la tienne. Tu étais là, et je t'ai vu partir. Je t'ai vu te fissurer et te fendre. Je t'ai vu tomber en poussière comme si tu n'étais rien et je suis resté immobile. Tu étais là à l'instant et tout avait un semblant de lumière, je voyais dans l'ombre et je n'avais pas peur. Tu étais là. Nos doigts entrelacés, on se regardait d'amour. Tu étais là, près de moi, tout près de moi. Maintenant tes doigts tombés en sable n'ont laissé qu'un vide froid que je sens. Je peux serrer les poings aussi fort que je le souhaite, je sens ce vide entre mes doigts, contre ma paume. Tu n'es pas là, Roydon. Je sens ma robe de princesse partir avec toi, brûler avec toi. Je la sens tomber en cendre à mes pieds nus. Je me sens dévêtue, car tes bras ne m'enlacent plus. Tu as disparu. Soudain, l'ombre elle-même est aspirée par éclat par l'oubli et la mort, blanche et affreuse. Je la vois s'effacer et je comprends que ni l'ombre, ni la lumière, ni rien ne veut de moi et je pleure, seule dans mon abysse profonde et obscure. Et tu as disparu alors jamais la lumière ne sera. Je peux faire ce que je désir mais là, je me souviens simplement de toi et de tes larmes. Je me souviens de tes colères, de tes sourires. Je me souviens de ta chute, de ce que je t'ai fait. J'ai peur, Roydon. J'ai peur que ça ne se répare jamais... Je sanglote, dans le froid, quittant lentement ma prison fictive. Tout cela n'était qu'un rêve. Nos doigts n'ont jamais été ainsi enlacé, en ce mois de mars. Jamais depuis que je les ai lâché, en Allemagne, pour rentrer à la maison. Je n'aurais jamais dû le faire. Parce que ce froid que je ressens, maintenant, il ne s'en ira plus jamais. J'ai froid et j'ai mal, et mon cœur se déchire comme le décors de mon rêve. Je veux me recroqueviller dans mon lit de France. C'est là que je comprends : je ne suis plus au pensionnat. La panique me gagne et cours dans mes veines, quand je comprends que je ne porte plus ma robe de chambre blanche. Je ne sens pas le drap sous mes jambes. Non... Je sens le corset, la gaine, les jupons. Je sens tout ce que je sens quand je suis vêtue. Mon cœur s'emballe. Mes yeux s'ouvrent. Je suis seule dans une prison blanche. Mon souffle me quitte. Lui non plus ne veux plus de moi... je suis seule et je vais mourir. Où m'a-t-on emmené ? Pourquoi je suis ici ? Pourquoi je porte cette grosse robe ? Pourquoi ces bas ? Que m'a-t-on fait ? Pourquoi une perruque ? Je me redresse dés que j'en ai la force, et découvre les chaussures noires, des bottes à talons. Elles ne sont pas à moi. La robe n'est pas à moi. Est-ce une blague ? Mais là, soudain, tout s’éclaire, quand je te vois dans le paysage d'une salle de bal. Tu portes ma robe et mes chaussures mais c'est bien toi que je vois, grand et beau. Je reconnaîtrais tes yeux rouges parmi des milliers. Je t'aime. La chaleur envahis mon corps et je me sens rougir. Ô comme je regrette. Dois-je te sauter dans les bras. J'hésite, paralysée devant la beauté de cette réalité. Je sens la joie dans chaque cellule de mon corps. Je sens mon amour pour toi et je veux te crier que je t'aime. Parce que je t'aime Roydon. Je t'aime et tu m'as tellement manqué ! Une larme roule sur ma joue et sur la tienne, nos corps connectés s'envoient au même moment ce message. Je t'ai manqué. Ton sourire qui se dessine doucement me réchauffe. Toi aussi tu rougis. | ||
| Sam 30 Mar - 3:55 Je me réveille. Et ce qui se passe autour est invraisemblable, tous ce blanc. J’en viens a en avoir mal au yeux. Je vais éviter de recommencer avec cette idée d’être mort. Le paradis ça ne ressemble pas a ça. En tous cas mon paradis. Ah bah je suis peut-être en enfer du coup. Roh, a part voler le gouter du ptit sebastien en 6ème je n’ai rien fait de vraiment grave dans ma vie. J’enlève alors mon bras de devant mes yeux et cherche le courage de me lever. J’ai l’impression que mon bras pèse des tonnes. Et j’ai l’impression d’être a l’étroit. Je ne n’ai pas l’impression d’être dans mon pyjama « J’aime le curry, mais le curry ne m’aime pas » qui est pourtant d’habitude si confortable. Je me lève alors et me met en tailleur sur le lit quand tout a coup. « AAAAAAh» Mais quelle horrible tenue, c’est quoi ça. Je porte des collant. Bon ok j’aime bien cette couleur noire. Mais pourquoi je suis habillé comme un… roi de France ? Samui passion carnaval ? Nan mais faut vraiment que tu te calme mon imagination. Les rêve que je fais en ce moment sont beaucoup trop étrange. Va falloir qu’on ait une discussion et vite. Je soupir alors. Bon du calme autant visiter il doit bien avoir des choses intéressantes ici. Tous d’abord je regarde au bord du lit voir si je n’aurai pas des chaussures. Ce pas que je suis fragile, mais si je ne suis pas dans un rêve j’aimerai éviter de me choper la grippe. Je finis par trouver une paire de chaussures noir avec de petit talon. Nan parce qu’après tous, on va éviter de mettre des converses avec cette tenue. Parce qu’il faut installer des limites au ridicule. Bon je vais mettre fin au débat dans ma tête et je me mets alors a me pincer. Pour savoir si c’est un rêve éveillé. Puis après avoir eu ma réponse. Je me met a fouiller la pièce vois si on ne m’a pas laisser un gentil petit mot. Et je commence par ouvrir le tiroir de ma table de nuit. | |||
| Sam 30 Mar - 11:24 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Samui Lafleur.
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 Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7251 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Dim 31 Mar - 0:27  ▼ ▲ La Bal (543 mots) Pour une fois, Tal s’était accordée une nuit de repos. Elle avait fait en sorte de finir sa « journée » de travail assez tôt pour rentrer chez elle et se prendre une bonne nuit de sommeil. Assez subitement, le précieux sommeil est perturbé par un violent inconfort. La danseuse avait la sensation d’être dans un pyjama à la fois trop serré et trop grand pour elle. Quoi que ce soit, elle décide de jeter la couverture pour essayer de comprendre d’où vient ce poids qui la compresse. Elle ne porte pourtant jamais grand-chose lorsqu’elle dort. Elle ouvre à peine les yeux que le blanc de la pièce trop lumineuse les lui brulent. Elle y plaque alors rapidement une main pour les protéger et agite l’autre en signe de rejet. « Non mais sérieux les gars ! Le lundi je veux dormir moi ! » Une fois ces mots fini, elle reposa ses bras et tenta de se retourner, en vain. Sa tenue n’est décidément pas coopérative. Quelques secondes s’écoulent, sans qu’elle ne bouge ni fasse aucun bruit. C’est pendant ces longues secondes qu’elle se rendit compte que sa chambre ne devrait pas être blanche mais aussi qu’elle n’avait entendu aucun ne bruit en réponse de sa plainte. Pas même des bruits de pas. La belle au bois dormant poussa un long soupir, mêlé à un râle, et fini par s’assoir, en faisant basculer ses jambes au bord du lit. La première étape le matin c’est de s’étirer. Les yeux presque fermées, elle s’étire donc, comme si de rien était. Toujours gênée par ses vêtements, elle décide d’identifier le problème. Au moment où son regard se pose sur l’améthyste de sa robe elle pousse crie de surprise. « C’est quoi ça ? Vous me faites une blague ? Avril, c’est forcément un coup à toi ça, montre toi ! » Il est maintenant évident que notre demoiselle parle seule. La rousse ne peut plus nier l’évidence, qui est que la mystique ville où elle vit lui fait une farce pour le premier Avril. Elle avait, de son temps au pensionnat, entendu des tas d’histoire abracadabrante à propos de Sainte Rosalie et, si les pouvoirs magiques pourquoi les villes ne pourrait-elle pas nous faire des blagues ? Elle lâche un soupir, bref mais plein de fatigue. Plongeons dans ses penser pour se mettre en situation : {Bon ma petite Tinallë, cherche, il doit forcément y avoir un truc ici qui va t’expliquer ce que tu fais avec une robe d’un autre temps dans une pièce trop moderne.} Elle mit immédiatement ses pensées à exécution : pour commencer, les chaussures, elles ne sont pas spécialement du style de Tintallë non plus mais elle ne va pas se balader sans chaussures et décide donc de les mettre. Elle décide de continuer son exploration pas les meubles. C’est très simple vue qu’il n’y en a que deux : Le lit et… Une table de nuit qui, bien entendu, se trouve de l’autre côté du lit. La demoiselle se lève avec grâce puis, avec autant de grâce que cette activité le permet, elle regarde sous le lit. Elle enchaine en s’attaquer à la table de nuit qui semble être la plus à même de contenir quelque chose d’utile. | ||
| Dim 31 Mar - 1:49 Indication : vous ne vous entendez pas mutuellement. Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Tintallë Thalos.
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| Dim 31 Mar - 3:24 J’ouvre le tiroir et voit qu’il est rempli de plusieurs babioles. Je l’enlève alors et je regarde alors le contenue. Tous d’abord un vieux calepin noir. Ok Samui Yagami c’est ton moment. Tu va devenir la justice. Je prends alors le cahier en main et me prépare a voir un shinigami apparaitre. Au bout de quelques seconde je me mets a pouffer de rire et a poser le carnet sur le lit. Bon je ne serais pas Kira pour l’instant. Enfin bref je vois aussi un crayon de papier blanc. Je le pose alors sur le lit. Bien il y a peut-être quelques choses dans ce carnet. Je sais pas moi, l’âme d’un mage noir prêt à détruire le monde ? « Il y a vraiment trop de carnet dans la pop culture je pourrais continuer pendant des heures » Murmura-il Je feuillette alors le carnet afin de vérifier s’il est vierge. Il reste quand même assez usé comparé au reste de la pièce, il fait un peu tache. Après avoir regarder le contenue, mon attention se dirige alors sur cette magnifique clé blanche. Retiens-toi de faire une référence, retiens-toi de faire une référence. Bien joué Samui ! tu es un grand garçon mature. Met lorsque je vois sur quoi est posé la clé mon cœur s’arrête alors net. « NOOOOOOOOOOON, qu’avez-vous fait a Blob. Bande de monstres. Je vous retrouverais et …. Je fuirai sûrement vu que vous restez quand même mes ravisseur » Bien Samui garde ton calme, blob n’était pas si gros que ça…. Nan il était bien plus gros c’est bon ce n’est pas lui. Je prends alors la clé et la met dans ma poche. Bien maintenant la brochure. Je l’ouvre afin de voir ce qu’elle contient. Après avoir tous lu consciencieusement, je mets me broche. « Bien c’est la touche finale à mon costume de clown, on a la classe ou on l’a pas » Je fais alors semblant de me recoiffer et jette un coup d’œil a l’intérieur de la table de nuit. | |||
| Dim 31 Mar - 4:47 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Samui Lafleur.
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| Lun 1 Avr - 1:22 Le Bal J’ai senti la lumière entrer à travers mes paupières. J’étais ravie que pour une fois ce ne soit pas les crie de mon rayon de soleil qui m’empêche de dormir mais, surement, des rayons de soleil, tout simplement. Très rapidement, se fut une autre sensation qui me tira définitivement de mon lit, enfin ce que je pensais encore être mon lit à ce moment-là. Je me sentais étouffée, compressée, je ne parvenais plus à respirer correctement, tout mon buste semble écrasé. Je me suis levée et ai découvert avec effroi que je n’étais plus à la maison. Cela ne m’importait plus de respirer ou non, je devais rentrer retrouver ma princesse. « Opalie !! Marceau ! Notre fille ! » Je pivotais, en collant et sans chaussures, je cherchais ma fille. La chair de ma chair c’était envolée. Non, c’était moi qui m’étais envolée… Je réalisais lentement que j’étais seule et enfermée. Je me jetais alors sur la seule sortie possible à mes yeux : la grande vitre face au lit. Je cherchais toujours mon soleil des yeux. Mais je ne découvrais que l’horrible décor d’une salle de bal de carnaval bordée de prison comme la mienne. Les larmes étaient au bord de mes paupières quand je cherchais mon mari. Elles se sont échapper avec mon crie de désespoir. « Marceau... ! » Anéantie, je m’étais retournée et avais laissée glissée mon dos le long de la vitre. Ne pouvant m’assoir, je me suis retrouvée allongée sur le sol, face à cette chambre d’hôpital de riche. De là, j’avais une magnifique vue sur le dessous du lit, il avait une forme original : Il semblait soutenue uniquement par la petite « planche » du bout. 285 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Lun 1 Avr - 12:11 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Perle LeParc.
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Lun 1 Avr - 12:22 Le Bal [Masqué] Il fait rouge... ma tête me lance. C'est comme si je n'avais pas dormi. T'as d'la chance que j't'aime, Opalie... Opalie... si je suis réveillée, c'est qu'elle pleure. Mais je l'entends pas... Bah... Perle a dû y aller... ouais... je dois dormir. Ou alors... non. Elle... je tâte à côté de moi, juste pour être sûre. Merde ! Ma main pend dans le vide. J'ai changé de côté ? C'est pas possible, j'suis pourtant sûre de m'être endormi côté droit... tant pis. Je tâte de l'autre côté. Encore du vide ? Je me lève en sursaut. Aoutch ! Merde ! Putain ! Bordel de merde ! Mes yeux ! « Perle... la lumière... » J'arrive à peine à articuler, accroupi sur le lit. C'est pas notre lit... Opalie ne pleure pas... Perle n'est pas là... c'est pas notre lit... Perle n'est pas là... J'ouvre les yeux. Mon adorable rayon de soleil et notre adorable rayon de soleil aurait fait du bruit. Mur blancs. Lit blanc. Bloc Blanc. Ok. Je ne suis pas chez moi : Perle aime beaucoup trop les couleurs. Et je porte... what ? Je sais que les amis d'Edward sont barge mais là... wah.... Des collants ? Ça fait LeParc, tu me dirais... ouais... ça fait vieux cons... bon. Je suis donc dans une pièce blanche en forme de... cercle. Il y a une fenêtre. Il n'y a pas de porte. Il n'y a aucun moyen de sortir. Concentre-toi. Un coups aussi tordu, il y a des chances que ce soit les Leinwand. Merde ! « Perle !! » Je sens la panique qui dévore tous mes neurones. Sérieux, calme-toi, t'es déjà con de base, mais si tu paniques tu es mort. Je passe ma main dans mes cheveux. Attends. Dis-moi que j'suis pas maquillé ! Merde ! Mon reflet a du maquillage ! Sérieux, je vais passer pour quoi ? Raaah ! Concentration. « Opalie ! » Je regarde tout autour. Il doit y avoir quelque chose, un moyen de communiquer. Plafond. Petites lumières. Ok. Je pose la table de nuit sur le lit. J'escalade. Oh mon Dieu ! Ça tangue ! Je me tend et essaie d'en attraper. J'y arrive pas.... « Ouvrez cette putain de fenêtre et rendez-moi ma femme et ma fille ! Bande de lâ-aaaaaah ! » Je m'effondre, ma tête rencontre le mur, la table rencontre mes jambes. Aoutch... Codage par Libella sur Graphiorum  | |||
| Lun 1 Avr - 20:59 Le Bal Je commence à peine à me sentir consciente que je suffoque. Curieuse, je palpe mon buste et constate la présence d’un corset. Bon, ok, se sera le thème du jour. Tout en m’étirant du mieux que je le peux j’ouvre, péniblement, les yeux. J’en profite pour contempler le plafond blanc, circulaire et visiblement parsemer de petites billes foncées. Je m’assoie et regarde autour de moi : Rien, pas de porte, juste une fenêtre, mon lit et un cube ; la pièce est visiblement entièrement blanche, en dehors des billes du plafond. La fenêtre donne sur une grande salle, très coloré, ambiance carnaval, surement une salle de réception. En la regardant, je distingue mon reflet dans la vitre. Je porte une sublime robe baroque marron, c’est dommage, elle ne me va pas trop au teint mais, elle est assortie à mes yeux ! Je repère, toujours grâce au miroir, une paire de bottins noir. Je n’y glisse et commence mon exploration de cette nouvelle pièce. Je vais commencer par le plus facile en espérant y trouver un truc utile. J’ouvre donc la « table de nuit ». Je réalise soudain que je peux surement parler à des gens. Je me concentre pour activer la Dolorey en moi : {Il y a quelqu’un ?} J’attends la réponse tout en analysant le contenue de la table de nuit. Le tiroir est trop petit, il doit y avoir autre chose. Je cherche un mécanisme, quelque chose qui la ferrait s’ouvrir, ou tomber en morceau, les deux me vont. 254 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Lun 1 Avr - 23:17 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Ileana Zulian.
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Sally Whispers L'Ami Pouvoir : [Passif] Quand on regarde Sally, on voit la personne à laquelle on tient le plus au monde. Cette personne peut être une fille ou un garçon, jeune ou vieille, vivante ou morte, peu importe. Cette personne porte les vêtements de Sally. L'illusion n'est qu'une image, au touché, Sally est toujours Sally. ça ne fonctionne pas sur les photo/vidéos. ça fonctionne sur les reflets. La voix et les expressions sont celles de Sally. Messages : 144 Points : 3995 Date d'inscription : 15/06/2018 | Mer 3 Avr - 0:28 Le bal [masqué] Dans tes yeux brille le sang pour toi écoulé, dans mon coeur brûle encore ton souvenir déchiré Quand tes mains sur mon corps tentaient de me sauver. Je ne puis me défaire de ces douces pensées Et mon coeur qui se serre appel, étranglé, dans un souffle sincère, ton nom si éloigné Je ne peux m'empêcher de sourire, plus largement que jamais. Je t'avais perdu, Roydon. Tu n'étais plus là, tu m'avais échappé comme le sable entre mes mains. Tu t'étais évaporé, simplement. Mais maintenant, là, tu étais face à moi. C'était comme un rêve. Je te sentais presque contre moi. Je savais que je devais te prendre dans mes bras. Tu n'avais rien à dire puisque tout était dans tes yeux. Je me suis élancée à la poursuite de ton image. J'ai ouvert mes bras et je me suis avancée pour découvrir qu'elle n'était que cela, une image. Le coups du sort m'a projetée de plusieurs pas en arrière. Chancelant, je me suis installée sur le lit, les yeux embuée vissées à ton triste reflet. Roydon. Mon amour. Mon image. Ce pouvoir est une horreur, et là, plus que jamais, il me donne l'impression de mourir. J'ai mal et on me retourne les entrailles. Je souffre. Je suffoque et tu es absent. Je ne tiens plus et ce cri s'échappe. Je hurle mais tu n'entends pas. Tu es loin, trop loin. Je me laisse tomber du lit et appuie ma tête trop lourde contre la table de nuit. Je suis désolée... Et là, comme un éclair dans mon esprit, j'ai compris l'urgence qui m'échappait jusqu'alors. Je suis avec toi, où que j'aille, parce que j'ai le carnet pourpre. Il me faut le carnet pourpre. Mon cœur a accéléré, comme s'il pompait l'énergie qu'il allait m'envoyer. En manque de notre connexion, je me suis mise à trembler. Mon cœur... Frénétiquement, j'ai cherché autour de moi, retourné les draps. J'ai trouvé un vieux rubans dont je me fichais. J'ai ouvert le tiroir à la volée. Il y avait une broche-étiquette, un crayon à bois, des perles lumineuses, une petite clé blanche et un carnet. A sa couverture un peu abîmé et à sa couleur, mon cœur a fait un bond impressionnant. Sans attendre, j'ai ramené mon carnet à mon cœur. Mais là j'ai su, je l'ai senti : ce n'était pas toi. J'ai jeté le carnet, dégoûtée. Ce n'était pas toi. Des larmes ont dévalées par dizaine et je me suis repliée sur moi-même. Mes côtes auraient gémi, si elles avaient pu, coincées contre le corset. Je ne respirais presque plus. Mais à quoi bon, sans toi. Entre mes doigts je tenais maintenant la petite clé, qui portait le symbole des gémeau. Toi, mon âme sœur, est-ce qu'elle me permettra de t'atteindre ? | ||
| Mer 3 Avr - 0:43 Le Bal Je l’ai vue, il était là, dans une autre pièce inconscient et je ne pouvais rien pour lui. Scarlett, comme je t’en voulais à ce moment-là. J’ai hurlée, désespérée qu’il m’entende : « Marceau... ! » Il ne répondait pas, tout l‘endroit est surement insonorisée. Je me suis effondrée au sol, fixant un peu dans le vague. C’est là que j’ai repérée une petite boite sous le lit, fixée par des rails, comme si ils voulaient qu’on fouille pour sortir. C’est là que j’ai compris que c’est ce que je devais faire. Mais avant d’arriver à me lever, j’ai supliée, en désespoir de cause : « Mon Opalie, ne me laissez pas loin d’elle, j’ai besoin de ma fille… » C’était un murmure, à peine audible. J’ai finalement puisée en moi la force de soulever mon corps. Je vais retourner cette pièce s’il le faut mais je vais trouver le moyen de sortir ! Je me suis avancée vers le lit et ai extirpée la boite de sa cacher avec hâte. Je l’ai secouée à l’envers pour tout renverser sur le lit. Ensuite, je l’ai secouée près de mon oreille pour être sûre qu’elle était bien vide. J’ai brièvement consulté le contenu avant de tout prendre avec moi. Puis, j’ai fait pareil avec le tiroir de la table de nuit. A défaut de réussir à le sortir je l’ai vidé. J’ai ensuite inspecté, avec le regard et le touché, toutes les parois, intérieurs et extérieurs, dans le but de vérifier que je possède tout et m’assurer de l’absence d’une paroi secrète. Je suis allée jusqu’à la renverser pour vérifier la plaque du dessous. J’ai fait le même processus que pour la moite avec les chaussures : je les ai retournées, secouée puis près de mon oreille pour entendre ou non la présence d’un quelconque objet. Passée cette étape je les ai enfilées. 312 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Mer 3 Avr - 0:56 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Perle LeParc.
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| Mer 3 Avr - 0:59 Je n'arrivais pas a croire ce que je venais de lire... tout a coup ce qui me semblait être une situation amusante ne prêtait plus a rire. J'en venais a presque en avoir la nausée. Des enlèvement perpétué depuis plus de 400 ans? Et puis c'est quoi encore tous ce termes incompréhensible. Doleym, c'est un autre langage. Bon il faut croire que tous le monde n'a pas accès a ce carnet. Seulement 5 personnes on écris dessus, sur 400 ça fait peu. Les écris de cette Anne, une ancêtre de Sally peut être, trop risqué de lui demander il risquerait de fondre en larme pour je e sait quel raison. Enfin bref, elle a l'air d'en savoir beaucoup et d'être la plus calme. Donc c'est qu'on ne risque sûrement pas la mort. De ce qu'on peux lire le livre doit disparaître a un moment ou bien... Je me met alors a déglutir. Et oui Samui ou bien elle est morte et n'a pas pu écrire ses conclusions. Bon il risque sûrement de se passer quelque chose dans les minutes a venir je ferais mieux de me préparer. Mais avant ça lisons ce qu'a écris ce Armin. Ok donc il avais un registre avec tous les anciens participant, mais pourquoi il n'a pas écris le point commun qu'il avait avec les autres personnes de la chambre. Il aurait pu comprendre pourquoi il était. Bon il a écris quelques info. La chambre noir, sûrement en rapport avec tous ce qui est dans cette chambre, mes habits, le cahier tout est noir. Simple pion? Alors si je fais partie de cette catégorie ça va pas le faire. Je ne suis pas sacrifiable et je vais vous le prouvez heu... jesépaki Il y a aussi ces 2 nombres... 419 et 236.9. Il est surement le 419 participant a entrer dans cette chambres. Non réapprend a compter ce n'est pas ça. Creuse toi les méninge créééétin. Pour 236,9... ça me rappel quelque chose... C'est la classification des livre en rapport sur l'apocalypse... je me rappel être aller chercher un livre en rapport avec ça. Il y a aussi ces cadenas que l'on peux ouvrir avec les clé Et pour ce livre, et si toute les personnes qui avait écris dans ce livre avait lancer ce qui les avais empêché de continuer. Raaaaaah je sais pas quoi faire. Bon autant tenter ce que certaines de ces personnes ont faites. Je regarde alors dans le matelas pour voir si il y a ce fameux registre. Puis j'essaye ensuite de soulever la table de nuit. C'est alors que me vins une idée. « Mais oui c'est sûrement a ça que ça sert » je prend alors le cahier ainsi que le crayon et vais voir si je peux voir d'autre personne a coté avec écris sur le cahier [Samui LaFleur,2019 Priorités : 1-Cherchez une clé, une fois trouvé. 2-Cherchez un cahier et un crayon afin de faire passer le message. 3-Cherchez un livre avec un historique 1-Find a key 2-Find a note and a Pen and write « find the key » 3-Find another book with name 236,9=Apocalypse? 419? ] Oui mon anglais reste très approximatif mais ça devrais suffir. | |||
| Mer 3 Avr - 1:10 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Samui Lafleur.
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| Mer 3 Avr - 1:22 Le joueur Samui Lafleur plaque son carnet contre la vitre. Vous pouvez potentiellement le voir. [Samui LaFleur,2019 Priorités : 1-Cherchez une clé, une fois trouvé. 2-Cherchez un cahier et un crayon afin de faire passer le message. 3-Cherchez un livre avec un historique 1-Find a key 2-Find a note and a Pen and write « find the key » 3-Find another book with name 236,9=Apocalypse? 419? ] Position de Samui :  | |||
| Mer 3 Avr - 1:58 Je me met alors a regarder ce que je peux trouver dans le matelas. Tous d'abord une bague ornée d'une pierre noir, magnifique... j'étais vraiment fasciné par sa beauté et mon esprit faillit se perdre dans ce noir profond. Mais je n'avais pas que ça a faire j'avais un plan a continuer, je mis alors la bague dans ma poche. Je trouva lors un papier replié que j'ouvre alors afin de le lire. J'ai l'impression de vivre un course aux œuf de paques... mais la j'ai plus l'impression que je dois sauver ma peau. Bon c'est partis il est temps d'assurer. Je prend alors la boite noir et la pose a coté de moi. Je me met alors a soulever la table de nuit... elle est si lourde et j’entends un bruit métallique a l'intérieur. Ok il y a quelques choses mais comment le trouver... et au moment ou je me met a penser. Mes yeux se posent sur une horreur... mon souffle se coupa, mon sang se glaça. Et je ne savais plus quoi faire... c'était vrai des gens pouvais mourir. Mon corps tout entier se mit a trembler. J'essayais de continuer fébrilement mon plan en montrant ce que j'avais écris a tous le monde. Mes genoux se cognèrent contre le sol. « Bien continue a chercher tant que tu as le temps c'est ton seul moyen de survie » Je me met alors a tenter de soulever le plafond pour voir si je trouverais quelques chose. Je me met aussi a scruter le sol et a taper voir si un endroit sonnais creux. Une voix tournais en boucle dans ma tête « N'accepte aucun contrat, n'accepte aucun contrat, n'accepte aucun contrat » | |||
| Mer 3 Avr - 2:10 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Samui Lafleur.
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| Mer 3 Avr - 2:37 Le Bal C’est bizarre, il y a une broche portant uniquement mes nom et prénom. Elle semble de bonne qualité. Je l’épingle. Ensuite… Une clef ? Je l’inspecte, un œil ? et une larme, c’est curieux. Que peut-elle bien ouvrir ? Si tenté qu’elle ne soit pas juste symbolique… Je décide de la garder et la glisse dans mon corset. En plus de ça se trouve, sous mes yeux, un splendide collier portant un cristal rose d’une beauté très pure. Je prends le temps de le contempler avant de le passer autour de mon cou. Je tâte les parois du tiroir à la recherche d’un clip ou autre qui me permettraient de fouiller à l’intérieur, je ne trouve rien. Je referme donc le tiroir et explore la paroi externe. Je commence par la face avant, puis, je renverse la table de nuit dessus. J’envoie un nouveau message, toujours attentive à la moindre personne qui pourrait me répondre : {S’il vous plaît ! Je suis enfermée dans une chambre blanche. Je ne peux pas être la seule connectée. Quelqu’un sais où je suis ?} Je m’active maintenant à palper toutes les parois restantes. Comme je suis par terre, j’en profite pour égarer mon regard sous le lit. Soudain, une idée germe, mes chaussures ! Je les retire et tente d’ouvrir les talons. C’est une cachette pourtant logique, je ne les portais pas en arrivant, elle fond donc parties de la pièce ! 239 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Mer 3 Avr - 2:41 Après avoir lu ce bout de papier... ce simple bout de papier. Bon au moins j'ai des instructions, mais aussi des choses flippantes. Comment ça je suis en danger, nan mais sans déconner frôler la mort une fois ça suffit pas. Je commence a avoir les nerf a vif, plus je découvrais des réponse plus j'avais des question. Bien on est en avril il faut donc coopérer je retiens on évite de tuer ses petits camarades, non mais sans déconner donne moi des info utile du concret. J'en peux plus des ces devinettes « AAAAAAAAAAAAAAAAH » Bon Juin si je m'échappe c'est la prison... Nan mais vas y fait un effort aussi. Je vais craquer je suis a deux doigts de déchiré ce foutu papier. Bon et le sabbat, il faut obéir? Meh. Puis elle parle des yeux rouges... il y en a donc plusieurs. C'était peut être ça le 415... je ne sais pas encore trop tot pour déduire quoi que ce soit Bien revenons sur quelques chose que je comprend, je n'ai toujours pas de quoi ouvrir cette foutu table de nuit. Allez Samui réfléchis réfléchis réfléchis. Oui c'est ça rappel toi les écris. Ce type Anglais. Il disais voir mis un bijoux et s'être transformé en bête. Alors il me vint une idée qui semblais terriblement stupide. Mais si il avais réussis a écrire ça c'est qu'on peux reprendre le contrôle. Et si cette bête me permet d'ouvrir la table pour y trouver quelques sa sera peut être une chance de survie en plus. De la sueur se mettait a perler sur mon front. J'étais terrifié, qu'allait-il se passer je me le demande bien. Je met alors la bague a mon doigt | |||
| Mer 3 Avr - 3:03 Le Bal La boite n’avait laissé tomber que 3 objets, une pochette, une perle lumineuse et une tétine. J’ai immédiatement vue rouge, tu t’en doute n’est-ce pas ? Je l’ai prise, les larmes aux yeux. Elle est magnifique, ma princesse l’adorerais : c’est ce que je me suis dit. Et c’est là que j’ai vue, c’était gravé sur le devant de la tétine. C’était ses nom et prénom. Je n’ai pu me retenir de crier. « Non mais vous vous moquez de moi !? Vous me donnez une tétine au nom de ma fille et vous n’êtes même pas fichu de me la rendre ! Vous êtes des monstre ou quoi ? Ramener la moi ou je jure de vous trouver et de vous faire vivre l’Enfer ! » Là, je ne pouvais plus du tout retenir mes larmes. Je voulais m’effondrer mais c’était hors de question. Je venais de promettre le contraire. J’ai donc enfuit la tétine et la perle dans la pochette. J’ai pris une grande inspiration avant de me tourner et d’ouvrir le tiroir de la table de nuit. Je repère tout de suite la broche à mon nom et l’épingle presque immédiatement. Je saisi ensuite une clef surmonté d’un œuf, c’est assez original. Je décide alors de la garder dans mon corsage, quelque chose me dit que c’est plus prudent. Pour finir, j’extirpe le cahier et le crayon que je pose sur le lit à côté du sac. Je cherche ensuite au fond du tiroir un accès au reste du meuble. J’y sens comme une gravure, mais beaucoup plus lisse. Ça doit signifier quelque chose. Je tente d’appuyer et de frapper dessus comme je peux. 277 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Mer 3 Avr - 3:05 Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Ileana Zulian.
Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Samui Lafleur.
Une de vos actions requière une réaction du destin. Le message ci-dessous est consacré à Perle LeParc.
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