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[EV][LT] Le bal [masqué] | |
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Jeu 28 Mar - 0:06 Rappel du premier message : Lieu précis : Inconnu Date et heure : matin du lundi 1e avril 2019 Résumé : Vous vous êtes couchés hier soir, c’était une journée normale. Vous vous êtes endormis, vous avez rêvés. Et là, vous vous réveillés dans un lit blanc, draps blancs, housse blanche. Vous portez une tenue de bal rococo, de la même couleur que vos yeux. Des chaussures de fêtes noires vous attendent au pied du lit blanc. Statut : Event Tours : Tours Titre du RP : Le bal [masqué] Introduction : Il existe vingt-quatre de ces pièces, placées en cercle autour d’une salle de bal. Chacun de vous est dans une pièce circulaire au sol et au mur blanc. Une partie du mur est en fait une vitre, donnant sur la salle de la bal. A côté de chaque lit se trouve une table de nuit cubique. La salle de bal est de forme plus ou moins rectangulaire. Elle est très colorée, avec des jolis rideaux, d’élégants sets de salon sur le côté, un merveilleux lustre, … rien ne vous dit pourquoi vous êtes ici, ou même où vous êtes.  | ||
| Auteur | Message | ||
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| Mar 23 Avr - 0:59 Chez Samui : Emma réagit à électrochoque et t'arrache le bracelet. Une foule d'objet retombe net. Tu sens une profonde douleur de ton épaule à ton coude. Ça brûle et ça pique. Une autre se déclare sur ton côté (celui du bras sans bracelet). C'est deux entailles longues d'une quinzaine de centimètres et assez profonde. Tu perds du sang. Emma tremble. « Je suis désolée... » L'homme te regarde avec dédain, ramasse quelque affaires et tourne les talons. Chez Tintallë : Roméo se retourne alors que tu l'apostrophe. Il a l'air plutôt agacé. « Madre mio, mademoiselle. Qu'avez-vous donc de si urgent à ajouter pour m'empêcher de récupérer mon bijou ? Il se trouve que je serais bien désavantagé si ce garçonnet venait à me l'emprunter. De plus, je ne pourrais pas vous faire la démonstration de sa splendeur. Comprenez-donc, très chère. Si vous pouvez m'accorder un instant, je reviendrais vers vous. Bien entendu, je ne saurais vous interdire de m'accompagner, si vous le voulez. » | |||
 Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7258 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Mar 23 Avr - 2:05   ▼ ▲ Le Bal(427 mots) S’il y a bien une chose à laquelle Tintallë n’est pas habitué c’est le rejet, les yeux dans les yeux. Elle voit l’énervement dans le corps de tout l’homme quand il se retourne. Mais aujourd’hui, il ne disparait pas sous ces yeux quand ceux de Roméo se pose sur elle. Elle fond complètement devant ce rejet. « Madre mio, mademoiselle. » Ça y est, nous avons perdu notre charmeuse. D’abord du français, puis, de l’anglais et maintenant de l’italien. A moins que ce ne soit de l’Espagnole. Quoi qu’il en soit, Tal en était toute retournée. « Qu'avez-vous donc de si urgent à ajouter pour m'empêcher de récupérer mon bijou ? » En réalité, rien de ce qu’elle ne voulait lui demander n’était réellement urgent. Entant que Thalos, elle s’en était très bien sortie jusqu’ici. Mais là, elle ressentait une urgence à savoir pourquoi tout et tout le monde ici semblais croire qu’elle est une Whispers. « Il se trouve que je serais bien désavantagé si ce garçonnet venait à me l'emprunter. De plus, je ne pourrais pas vous faire la démonstration de sa splendeur. » Soudain, des paillettes firent scintiller les Sugilites des yeux de la rousse. Il compte lui faire une démonstration, ce qui signifie qu’il n’est peut-être pas tellement indifférent à son charme, au moins le naturel. En tout cas c’est ce que pense Tal à ce moment précis. « Comprenez-donc, très chère. » Encore des mots d’un autre temps qui font fondre les femmes d’aujourd’hui. La belle commence à être vraiment intriguée par ce bel homme. « Si vous pouvez m'accorder un instant, je reviendrais vers vous. » Avec ça, elle est mise KO. Il compte revenir la voir. Elle en meurt déjà d’impatience. « Bien entendu, je ne saurais vous interdire de m'accompagner, si vous le voulez. » Ces quelques mots vinrent la rattraper, la sauver du cauchemar de devoir attendre. Elle s’écria : « Oui ! » Réalisant que ce tout petit mot lui avait échappée avec bien trop d’entrain, elle pose une main sur ses lèvres parfaites, par reflex. Après une courte seconde elle la retire pour ajouter : « Je préfère vous accompagner. Rester assise ne m’apportera rien de toute façon. » Sur ses mots, la danseuse se retourne, attrape sa pochette et pivote une nouvelle fois pour regarder Roméo, dont elle ignore toujours le prénom. Elle se permet donc de se présenter. « Tintallë Thalos, enchantée. » Elle avait pris soin d’appuyer légèrement sur son nom de famille, insistant subtillement piur qu’il comprenne qu’elle n’est pas une Whispers. | ||
| Mar 23 Avr - 18:53 Il te sourit avec amusement devant ta maladresse. Quand tu te présentes, il fait des yeux ronds d'étonnement et paraît un peu embarrassé. « Oh ! Mio Dio ! » Il a l'air désolé et se gratte nerveusement l'arrière de la tête. « Toutes mes excuses, mademoiselle Thalos... il me semble avoir manqué à tous mes devoirs de galanteries par deux fois... » Il s'interrompt un instant. « Il m'aurait fallu attendre votre présentation. Je vous ai jugé à la couleur de vos yeux, si atypique, et je n'aurais pas dû... en outre, j'ai moi-même oublié de me présenter à vous. » Il s'incline avec adresse et te fait un baise-main en bonne et due forme. « Je me prénomme Roméo et appartient à la famille italienne Maniglio. Vous rencontrer fut un véritable enchantement. » | |||
| Mer 24 Avr - 21:10 Mais que fait elle. Ou est elle. Pourquoi elle m'abandonne pour ce type. Emma vite sauve moi. Je ne peux pas mourir maintenant. Pas tous de suite. « Tous de suite !! » Au moment ou je crie ça je vois l'ombre d'Emma réagir. Elle s'approche. J'ai l'impression que ces dernières secondes avant la délivrance durent une éternité... vite. Elle réussis enfin a m'enlever le bracelet. C'est la première fois que je vois Emma dans cet état. A la fois paniqué et fragile. Oui c'est ça c'est la première fois que je vois Emma en position de faiblesse. Serait-ce de ma faute u celui de ce type qui me regarde comme si j'étais un dechet. « Je suis désolée... » J'essaye de me lever pour la prendre dans mes bras. Je me sent a l'instant tellement mal pour elle, je ne prend pas encore conscience de mon état actuel « Emma ce n'est pa.... itai ! » Je me rassied alors je ressent une douleur sur mon flanc gauche... je comprend alors que j'ai subit le même sort que la pauvre Ame. Je commence a voir l'homme qui est venu a moi tourner les talons, je l'interpelle alors. « Hé, attend qui es-tu ? » Je n'attend pas a réponse une autre pensée a moi. Je regarde tous autour de moi paniqué pour voir si Ame va bien. J'espère qu'elle n'a rien. Mon arrogance m'a joué un très mauvais tour. Comment je vais pouvoir justifier ce fiasco... En tous cas avec l'état de mon bras ça risque d'être compliqué le piano pour cette soirée. | |||
| Jeu 25 Avr - 2:07 Emma s'en veut terriblement. Elle s'approche de toi en jurant plein de choses dans sa barbe imaginaire. Elle essaie de prendre soin de toi, les yeux embués. Quand tu l'interpelles, Chuck se retourne et te souris. Au moment où il se retourne, Emma sursaute et tu entends le petit gémissement terrifié d'Ame derrière le canapé. « On m'appel Chuck. Pourquoi, gamin. Tu as une réclamation, peut-être ? Il ne me semble pas t'avoir volé quoi que ce soit... » Il attend sagement sa réponse et Emma tremble comme une feuille, devenue incapable de tout. | |||
| Jeu 25 Avr - 3:36 Le Bal Une fois mes affaires déposé sur une petite table, je prends de grande inspiration. Il faut que je retrouve un rythme cardiaque normal. Ces araignées ne m’ont vraiment pas rassuré. Une fois me calme retrouvée, j’observe les alentour. Je commence par ce qui se trouve le plus loin : Je suis, visiblement, à un bout d’une salle de balle. A l’autre bout, je remarque une certaine animation, les gens ont l’air de parler. Mais surtout, je repère ses doleyms. Ils ont décidé de garder leur collier visiblement. J’ai aussi l’impression de voir des objets voler. Je suis trop loin pour en avoir la certitude. Je fini par me concentrer sur ce qui m’entoure de plus près. Curieusement, il y a un bébé derrière moi. Je ne sais pas qu’est-ce qu’un bébé fait là mais il est là. Ou en tout cas il y un berceau avec une femme pencher dessus. Je pense la connaitre. Edward à demander à Charlotte de l’engager pour la plonge, en fin d’année. Elle était enceinte et énorme. De part et d’autre de ma personne se trouvent deux hommes et une femme. Ils sont tous les trois ont les yeux rivées sur moi et le spectacle semble les amuser. Une seconde, ils sont en train de se moquer de moi ! Je baisse les yeux sur ma robe de balle. Et bien j’ai eu raison. Je suis dans un état pitoyable. Je rougis légèrement et me rappelle que mon cher yeux rouges m’a dit : Le micro me permet de leurs parler ! Je m’exécute donc, de ma voix la plus mielleuse : « Dis-moi mon chéri, tu pourrais me rendre un petit service ? Mais qu’est-ce que je raconte, tu en es forcément capable, tu as changé une vitre en écran pour que je puisse te voir. J’ai vraiment besoin d’un coup de main là. J’ai un besoin urgent de me refaire une beauté mais je ne vois ni miroir ni make-un… » 328 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Jeu 25 Avr - 3:51 Quand Lana parle, le haut parleur s'allume en marron. La voix du yeux rouge de Lana retentit dans le haut parler : « Oui ma p'tite Ilian-chou, je peux faire quelque chose. Bien-sûre que je vais faire quelque chose ! » Une autre voix résonne en fond. C'est un garçon mort de rire. « Haha ! Le prince des ténèbres a tellement peu d'succès qu'il va pécho chez les intérimaires ! » Mais le sol s'ouvre quand même face à toi. Tu reçois un miroir, un kit de maquillage, une brosse à cheveux, un ruban couleur chocolat et un masque de bal argenté. « Alors Ilian-chou, ça te va ? » La deuxième voix est toujours morte de rire. Là-dessus, la voix de la yeux rouge d'Eloane et Tintallë dit : « Tu es vraiment à l'antipode du professionnalisme. » Et la voix du yeux rouge de Sally répond, outré : « Trop professionnel signifie pas assez drôle. Tu en es la preuve vivante ! » Et la voix de la yeux rouge de Samui aboie : « Arrêtez de nous faire passer pour des incapables et tâchez de faire preuve de maturité ! Je mesure la difficulté de cette doléance, convenons-en. Mais tout de même, cinq pauvres minutes de sagesse ne devrait pas vous tuer. Quoique, j'ai un doute sur le prince de l'ombre, mais, au pire, ça ne serait pas une si grande perte... » Une voix de femme rit alors. « Allons, il est inutile de nous disputer. » | |||
| Jeu 25 Avr - 18:40 Je ressent encore cette douleur sur mon coté gauche. Et elle se fait de plus en plus intense depuis que j'en ai pris conscience. Je me répète alors dans ma tête. [C'est 90% psychologique, tous ça c'est ans tête] Au moment ou j'interpelle cet homme qui commençais il se retourne et me répond « On m'appel Chuck. Pourquoi, gamin. » Putain encore un vieux con qui va me prendre de haut, mais il garde une sorte de prestance. Sa présence en est presque effrayante. Je sent alors Emma commencer a trembler a coté de moi. Emma qui panique... ok il n'y a rien de pire pour me faire paniquer. Mais bon on va faire semblant d'aller bien . Je lui prend alors sa main afin de la rassurer mais arrête très vite a cause de la douleur. « Tu as une réclamation, peut-être ? Il ne me semble pas t'avoir volé quoi que ce soit... » Mais il est sérieux. J'espère qu'il ne m'a rien voler. Je me met a scruter autour de moi et ne semble pas avoir perdu quoi que ce soit. « Non, si j'avais perdu quelques chose je t'aurai pas demandé ton nom je t'aurais juste demandé de me le rendre. » Je l'inspecte alors, son comportement. Sa façon de se tenir. Comment parle il ? « Tu as l'air confiant, un peu comme si c'était chez toi. Comme si ce genre de chose était habituel. Qui plus est tu as l'air plutôt calme malgré ce que certain on pu lire ici. Donc j'en déduit que tu sait beaucoup de chose. C'est pourquoi j'aimerai te poser quelques questions. Donc vu que je me suis découvert un élan de politesse je t'ai demandé ton nom. D'ailleurs fait tu parti d'une famille importante ? » Bon j'espère ne pas avoir trop glissé j'aimerai éviter de me retrouver avec un crayon planté dans la gorge sa serait pas mal. | |||
| Jeu 25 Avr - 21:28 Chuck sourit en te regardant, comme face à un enfant particulièrement mignon. Il porte un collier avec une pierre rose. Il parle calmement. Il a la voix d'un homme de plus de soixante ans. « Tu dois vraiment aimer le prénom gamin, sinon tu me donnerais ton nom. » Emma prend ta défense. Au départ, elle est sérieuse, puis elle a juste l'air terrifié. « Il s'appelle Samui Lafleur ! Pas... pas gamin... je veux dire... il... il s'appelle Samui. » Elle se met à trouver un grand intérêt à ses chaussures. Chuck a un très large sourire. « Intéressant. Donc tu es un ami de ma petite Emma ? » Emma vire au rouge pivoine. Chuck a l'air très amusé. Il jette un regard vers le canapé. « Tu ferais mieux de sortir, ma petite Ame. On va discuter un petit moment, d'accord ? » Tu crois entendre un sanglot derrière le canapé. Chuck s'installe sur un fauteuil. « Je suis calme et confiant parce que je connais cet endroit, effectivement. Et oui, je fais parti d'une grande famille. Malheureusement, répondre aux questionnements infantile n'est pas exactement ma passion... heureusement pour vous, j'ai un ami qui adore s'en charger. Si vous voulez, je peux lui demander de se joindre à nous. Mais en attendant, installez vous, tous les trois. » Il jette un regard vers la table de Lana, Annabelle, Kuro et Ancot. « Ma petite Ame ne semble pas vouloir saluer sa chère cousine, de toute façon. » Il a un grand sourire terrifiant. | |||
| Jeu 25 Avr - 22:55 Le Bal Même si je ne suis pas sûr qu’ils puissent me voir, j’ai pris une mine affligée par mon look. J’ai de la chance parce qu’il ne me fait pas attendre plus de quelques secondes. Et sa voix sensuelle retentie dans le haut-parleur : « Oui ma petite Ilian-chou, je peux faire quelque chose. Bien-sûre que je vais faire quelque chose ! » Je suis soulagé. Je suis vraiment tombée sur le mec sympa ! Comme derrière lui, j’entends des rires. Je dirais même que j’entends un sacré fou-rire. « Haha ! Le prince des ténèbres a tellement peu d’succès qu’il va pécho chez les intérimaires ! » Mais c’est moi l’intérimaire ? Je ne lui permets pas, je suis une noble. Remarque, il aurait pu comme celle de tout à l’heure, me traiter d’objet. Au moins une intérimaire à une conscience. Malgré les remarques de son collègue, mon yeux rouges fait s’ouvrir le sol. Je vois en sortir un miroir. A cela s’ajoute un kit complet de maquillage, une brosse à cheveux, un joli ruban et un sublime masque d’argent. Avec ça je vais pouvoir me refaire une beauté, c’est super. Mais quand même, je ruban chocolat… Comme si je n’étais pas assez brune de la tête aux pieds… Mais bon, je dois m’estimer heureuse, c’est un cadeau ! « Alors Ilian-chou, ça te va ? » J’hésite, est-ce que je lui fais une remarque ? Au risque de tout perdre ? Je ne suis pas certaine. Mais il me semble cool. Je n’ai pas le temps de lui répondre que d’autres yeux rouges se disputent : « Tu es vraiment à l'antipode du professionnalisme. _ Trop professionnel signifie pas assez drôle. Tu en es la preuve vivante ! _ Arrêtez de nous faire passer pour des incapables et tâchez de faire preuve de maturité ! Je mesure la difficulté de cette doléance, convenons-en. Mais tout de même, cinq pauvres minutes de sagesse ne devrait pas vous tuer. Quoique, j'ai un doute sur le prince de l'ombre, mais, au pire, ça ne serait pas une si grande perte... » Je reste là, incrédule pendant leurs échanges. Mais soudain, un doux rire retenti : « Allons, il est inutile de nous disputer. » Je pense que cette dernière voix dois appartenir à quelqu’un qui a plus de pouvoir puisqu’ils se sont tous tuent. C’est enfin à mon tour de parler. Je me lance : « J’aurais aimé une petite fantaisie coloré dans mes yeux. Peut-importait la couleur mais c’est déjà énorme. Merci ! Tu es vraiment un amour…. Euh… Zut, je n’ai pas la moindre idée de comment t’appeler… » Je m’empourpre de gêne de ne pas pouvoir l’appeler. 448 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Sam 27 Avr - 0:46 Le Bal Elle était là, juste sous mes yeux. Elle dormait paisiblement. De ses frêles mains, elle serrait une peluche. Je n’y ai pas tout de suite prêté attention mais c’était un poisson, du bleu de ses yeux. Je me suis approchée doucement, en essayant de ne pas faire de bruit. Une fois au-dessus de son visage d’ange, je me suis penché pour lui embrasser le front. Elle semblait si paisible, je t’assure. J’ai déposé le doudou sur ses petites mains puis j’ai glissé la tétine à côté d’elle. J’ai cherché Marceau du regard. Mais, quand j’ai commencé à partir pour le rejoindre, tous les haut-parleurs de la salle se sont allumés de brun et une femme c’est mise à parler. Puis, des gens se sont disputés pour lui répondre. Je me suis arrêtée net. J’ai eu tellement peur qu’Opalie se réveil ! Je me suis retournée au ralentie et me suis penché sur elle. C’est là que j’ai murmurée : « S’il te plait mon bébé, reste endormi. Maman va chercher papa. Scarlett veille sur toi en attendant. » A ce moment-là j’avais complètement oublié la présence de mon micro. Enfin, jusqu’à ce que j’entende ma voix raisonner. J’ai embrassé une nouvelle fois mon enfant avant de me diriger vers son père. Il était au sol, rampant. 216 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
| Sam 27 Avr - 1:37 Le haut parleur s'allume en brun et fait raisonner la voix de Lana. Le haut parleur s'allume en turquoise et fait raisonner la voix de Perle. Les personnes autour de Lana la fixent avec amusement. Ils semblent assez intrigués par Lana. Son yeux rouge te répond : « Oups. Déso, tu as raison... heu... une minute... Nessy, ma chérie, tu voudrais pas m'en filer une paire. Il m'en semble que tu y as accès grâce à ton chouchou et, avec son Doleym, c'est pas comme s'il en avait besoin... » Une voix de femme soupire. La yeux rouge de Tal et Eloane déclare : « Idiot de prince, il est interdit de donner une dénomination aux intérimaires ! » Mais une autre femme l'interrompt : « ça va aller Vilvi', nous sommes à une réception et non au travail. Lassez donc notre boute-en-train s'amuser un peu. D'ailleurs, cher prince, si vous acceptez de me rendre service en échange, il n'y a aucun problème. » Le yeux rouge de Lana conclue : « Dacodac, Nessy. Voilà ma petite Il'na ! » Une paire de lentilles rouges sortent du sol. « Et appel moi comme tu veux. Si je te donnes mon nom, Vilvi va me tuer ! » La voix de Chuck se met à rire. « Quitte à rendre des services, j'aimerais du thé pour quatre personnes s'il te plaît. » Un service à thé sort du sol près de Chuck, avec quatre tasses sur leur assiette, une grande théière et quelques macarons. | |||
| Jeu 2 Mai - 21:21 « Tu dois vraiment aimer le prénom gamin, sinon tu me donnerais ton nom. » Nan mais... c'est juste une perte de temps cette histoire qui en a quelques chose a faire des noms. Ahah c'est drole je suis un ado t'es plus vieux. Et alors ? Ça veux juste dire que tu va mourir avant moi alors arrête de t'en vanter... Aaaaaah il m'énerve déjà. « Il s'appelle Samui Lafleur ! Pas... pas gamin... je veux dire... il... il s'appelle Samui. » Emma... elle a l'air terrifié. Elle est si adorable, mais elle a d'un coup perdu son aplomb habituel... mais qui c'est ce type... « Intéressant. Donc tu es un ami de ma petite Emma ? » Quoi ??? comment ça TA petite Emma, t'es qui pour dire ça... me vole pas MA femme de mes rêve ayant une capacité a être mignonne surhumaine et totalement féline . Elle a l'air gênée... quoi, non ! Me dite pas qu'elle lui est promise, mais quel cauchemars cette soirée. « Tu ferais mieux de sortir, ma petite Ame. On va discuter un petit moment, d'accord ? » AAAAAAAAAAAH non alors là s'en est trop. J'en peux plus. Emma encore je peux laisser passer. Mais tu va parler d'une autre façon à Ame. C'est la femme de ma vie. Je refuse que tu me la vole. Non, Non et non. Et puis elle est trop jeune pour toi espèce de pédophile. Je regarde alors vers la ou Ame devrais être. « Hé Ame, ça va ? Ne t'inquiète pas tu eux sortir je n'ai rien. C'est finis » Je l'entend alors faire un monologue agaçant sur a quel point il est exceptionnel. Et je le voit demander du thé et le thé apparaît sur la table comme par magie... J’entends derrière moi quelques bruit de fond, au haut parleur. Mais je décide de pas y prêter attention, l'homme au sourit effrayant devant moi attirait toute mon attention. Bien Samui, calme toi. Vas y. « Bon on va être un peu plus direct, vu que tu n'as pas l'air d'avoir notre temps. J'aimerai tous d’abord savoir si je pourrais avoir de quoi me soigner ici ? Suffit que je demande ? J'aimerai aussi essayer ma clé sur le cadenas. Ensuite comment tu fait pour avoir cette aura ? c'est grave cool. Et au final, si il y a des question auquel tu veux pas répondre bah hésite pas a faire venir ton répondeur ? Désolé je ne sais pas comment tu appel ça » Mais qu'est ce que je fait... pourquoi ce type a l'air pas net. C'est a cause de la réaction d'Emma ? « Ah oui et au cas ou sait tu ou est le cadenas qui me correspond ? » | |||
| Ven 3 Mai - 19:52 Vous entendez la conversation des yeux rouges en fond. « Ok, ok petit. Je vais essayer de répondre à tout, mais ça risque d'être long. » Alors qu'il te répond, Ame sort de sa cachette et s'installe en sanglotant. Emma s'installe à côté d'elle et la rassure en lui caressant l'épaule. « Tout d'abord, le pouvoir que j'avais en arrivant vient de mon bijou. En gros, chacun des bijou ici présent est magique, c'est un artefact. Ils sont plus ou moins dangereux... les clés aussi sont magiques, d'ailleurs. La clé de l'oeuf, par exemple, peut faire arriver une personne avec qui on a une relation parent-enfant. Ensuite, pour ta clé, je ne sais pas. Tous les ans, c'est différent. Je crois que c'est dû au hasard. » Il regarde tour à tour tes blessures et celle d'Ame. « Si tu veux quelque chose, pour toi, tu n'as qu'à le réclamer à ton yeux rouge, ou Emma pourrait le faire. Je te montre. » Chuck attrape son micro en riant et demande : « Quitte à rendre des services, j'aimerais du thé pour quatre personnes s'il te plaît. » Un service à thé sort du sol près de Chuck, avec quatre tasses sur leur assiette, une grande théière et quelques macarons. Il éloigne le micro de sa bouche et, en attrapant un macaron, déclare : « ça marche avec presque tout, tant que c'est raisonnable. » | |||
| Ven 3 Mai - 20:00 Récapitulatif du 4e tour : Tout le monde discute séparément. Tour 5 : Un piano sort du sol avec des violons, une contrebasse et une flûte traversière. La chambre d'Eloane se noircit et elle s'endort. L'Event est fini pour elle. Une voix annonce avec entrain : « Que la fête commence ! » C'est une voix de petite fille. Quand elle annonce ça, des confettis multicolores tombent du plafond. Plan :  | |||
| Dim 5 Mai - 1:29 « Ok, ok petit. Je vais essayer de répondre à tout, mais ça risque d'être long. » Finalement je me suis peut-être trompé sur lui il à l'air sympa, mais pourquoi Emma est comme ça du coup... c'est tellement étrange. «Tout d'abord, le pouvoir que j'avais en arrivant vient de mon bijou. En gros, chacun des bijou ici présent est magique, c'est un artefact. Ils sont plus ou moins dangereux... les clés aussi sont magiques, d'ailleurs.» Ok bon la vraie question a poser est qu'est ce qui n'est as magique ici... c'est pas croyable ça. Bientôt on va nous apprendre que nos chaussures nous permettes de lancer des éclairs. Mais bon en vrai c'est grave cool. Tellement de chose a découvrir. Tellement de questions. « La clé de l’œuf, par exemple, peut faire arriver une personne avec qui on a une relation parent-enfant. Ensuite, pour ta clé, je ne sais pas. Tous les ans, c'est différent. Je crois que c'est dû au hasard. » Ok... donc je ne vais pas trop prêter attention a ce qui a été écris sur les journaux. Tout a l'air de changer chaque année. Du coup on peux venir plusieurs années de suit c'est intéressant... « Si tu veux quelque chose, pour toi, tu n'as qu'à le réclamer à ton yeux rouge, ou Emma pourrait le faire. Je te montre. » A ce moment la il demande un thé, il est tellement classe. Il rit et prend le micro avec style. Trop stylé. Fin bref reprend toi c'est sûrement un monstre. « Wow, vraiment utile. Mais j'ai peut être un peu vexer mon yeux rouge tous a l'heure. Bof pas grave au pire autant essayer » je prend alors le micro que j'ai et demande. « Bien... Hum... Bon. Désolé pour tout à l'heure j'ai peut être été un peu maladroit je m'en excuse. Dit est-ce que tu pourrais m'apporter ton aider. Car la j'aurai besoin de quoi me réparer » Ok, maintenant que je sais que cette yeux rouge peut me tuer je vois les choses un peu différemment... je stress peut être un peu. « Excuse moi Chuck, sa te dérangerais de me présenter aux autres personnes qui t'accompagne. Déjà je pourrais tester ma clé, Ensuite j'ai quand même pas mal de question » Tout en disant ça je me rapproche d'Ame sanglotante. Lui embrasse le front et lui chuchote. « Pardonne moi, j'ai été imprudent et t'ai fait du mal. Je n'aurai pas du. Ça n'arrivera plus je te le promet » | |||
| Dim 5 Mai - 2:17 Le haut parleur s'allume et la voix de Samui raisonne. Le sol s'ouvre et un kit de premier secours sort du sol, avec un petit papier. Il est inscrit en rouge dessus "Fais attention la prochaine fois, les jouets effrontés ne me plaisent pas du tout.". C'est une écriture très élégante et raffinée. Le papier sent la rose. De petits "Nellya" doré bordent le papier blanc. Chuck pose son cadenas sur la table, bois une gorgée de thé et va dire deux mots aux trois filles de sa table. Un instant plus tard, les filles reviennent avec lui. Chuck jette un oeil au papier et sourit. "Pas facile à vivre, celle-là." Yann vole un macaron et tend trois cadenas à Samui. Zola est accroché à lui comme si sa vie en dépendait. Lotti salue Emma et Ame d'une révérence rendue. Chuck demande : "Yann, tu veux bien t'occuper de notre petite Ame, je crois qu'elle a eu un coups du Charpille magnétique. Le petit aussi, c'est un ami de nos petites jumelles spirituelles." Yann hoche la tête. "Et je crois que tu pourrais nous obtenir plus de gâteau, et plus de thé. Zola doit mourir de soif." Lotti et Emma se mettent à lire des cahiers ensemble. Mais, régulièrement, Emma regarde Yann avec méfiance. Yann va s'occuper de la blessure d'Ame avec beaucoup d'habilité. Elle semble avoir mal mais se laisse faire. Chuck attrape son micro. Le haut parleur s'allume en bleu ciel alors qu'il demande. "Désolé d'être aussi dérangeant en ce début de soirée, mais mes amis aimeraient plus de gâteries et de thé. Les filles se sont joint à mes invités. Et ne t'en fais pas, tu auras toute la douce musique que tu aimes." Il regarde vers Yann, l'air ennuyé, puis éloigne le micro et s'accroupi devant Zola. "Tu crois que tu pourrais me rendre un super gros service, championne ?" Elle penche la tête sur le côté, il sourit et l'emmène. Ils vont vers les instruments. Il l'installe au piano et lui donne des instructions avant de prendre le violon. Ils jouent des airs de musique classique très simple. | |||
Lun 6 Mai - 23:37 Le Bal [Masqué] Merde... le ciel m'est tombé sur la tête, puis les monstres à huit pattes sont tombés du ciel. Ces sales bêtes auraient bien pu me tuer... vive les réflexes des LeParc ! Wah ! Le coups sur la tête ! J'suis vraiment en train de dire du bien de ces barjo ? Est-ce que les araignées peuvent venir ? Aoutch. Pourquoi ils disent jamais que passer sa tête par-dessus son épaule ça détruit la nuque ? Merde. Au moins, il y a un mur. Il faut que je me calme. Respire. Perle. Ok. Je peux plus respirer. Elle va bien ? Elle est sortie ? Ma tête contre le parquet, je peux pas la voir. Elle est où ? Relève-toi. Perle a peut-être besoin de toi. Je lève la tête et... Awn ! Mon Dieu ! Opalie ! Ma petite perle de bonheur est avec sa maman ! Merde. Non. Ma virilité coule de mes yeux. Baisse-la tête, elle ne te verra pas. Ouais. Garde ton honneur et trouve ton souffle. Ta femme et ta fille vont bien. Elles vont bien. Bon. Concentration. Il y a beaucoup de monde, plus de vingt personnes. C'est un bal dans un manoir que je ne connais pas. Plus de 500m² pour une salle de balle... même les LeParc trouveraient ça louable. Donc, soit on a caché un palais tout près de Sainte Rosalie, tenu par les meilleurs ninja du monde ; soit c'est un univers parallèle. Bon. Voyons qui je connais. Côté gauche, un physique de Maniglio que je ne connais pas, les jumelles sans-sang et un groupe d'inconnus. En face, Mathéo et Ionia, les traîtres. Si j'essaie pas de leur toucher un mot, Miranda, Béatrice et Neal vont me tuer. Ionia manque à ses sœurs. Elle manque à son frère, à sa mère. Bon. On verra déjà. A droite... perle ? Pourquoi il y en a deux ? Ok. J'ai vraiment prit un coups sur la tête. Du calme, donc, Perle au carré, Opalie, Ancot, Kuro, Annabelle, les sœurs d'Ionia et les deux collègues de Perle, en plus des inconnus. Ok. Trop de monde à saluer. Front-sol froid, le paradis. La douleur fuse dans tout mon corps. J'ai chaud et froid. Tout va bien se passer. Respire profondément. C'est quoi ce bruit de talon ? Aoutch, ça nique de lever la tête et... ooooooh ! Perle ! Mon Dieu, elle est tellement... wah... je déglutis et me débat pour paraître plus viril. Mais bon, j'ai l'air tout sauf viril. Tout va bien. Inspire, expire, inspire, expire. « Perle... tout va bien ? » Je lui souris. Elle est tellement belle. Sa robe est... mon Dieu, à la prochaine réception de ma famille, j'insiste pour du rococo. C'est époustouflant, elle est tellement belle. Je savais que tu étais une princesse, ma chérie, mais là... je vais m'évanouir... « Opalie... ? » Tu veux rester en vie ? N'oublie pas le bébé. Surtout, pense toujours au bébé. Si tu passes une demi heure sans parler du bébé, tu risques ta vie. Acte physique intense exclu, bien entendu. Parce que le bébé est rempli d'amour, mais ça n'empêche qu'il tue l'amour. Bref. Respire. Il va falloir que tu te lèves, que tu présentes les plus belles femmes du monde aux insupportables grandes familles. J'ai entendu la voix de Charles, en fond. Il doit être caché quelque part... Codage par Libella sur Graphiorum  | |||
| Mar 7 Mai - 3:05 Après avoir formulé ma demande la table s'ouvre avec de quoi me soigner. Bon je ne sais pas comment m'en servir mais bon... C'est déjà pas mal. "Fais attention la prochaine fois, les jouets effrontés ne me plaisent pas du tout." Grrr, je doit me laisser traiter de jouet par ce... je ne sais pas comment l’appelé. Dieu ? « Merci a toi, ça n'arrivera plus ne t'inquiète pas » Tiens mais quel est ce goût au fout de ma bouche que ressent, mais oui c'est ça. C'est ce dégoût que je m'inspire a moi même. Je me doit d'être a service de quelqu 'un... Après si je suis gentil je pourrais peut être avoir d'autre services, qui sait. Après cette demande accomplis pas le génie du micro. Je vois alors Chuck poser son cadenas et aller en direction de la table d'où il viens. Je tente alors d'ouvrir le cadenas avec ma clé... Je le vois revenir avec les femmes qui était installer avec lui. Je prend alors la paroles. "Pas facile à vivre, celle-là." « hm,,, » Je me contente alors de sourire afin d'éviter tous problème avec cette espionne pouvant me réduire en cendre juste parce qu’elle en a envie. C'est alors que les 3 jeunes filles qui viennent d'arriver me tendent leur cadenas. « Merci, c'est bien aimable. » Je les prend alors et tente de mettre ma clé dans les 3 cadenas. "Yann, tu veux bien t'occuper de notre petite Ame, je crois qu'elle a eu un coups du Charpille magnétique. Le petit aussi, c'est un ami de nos petites jumelles spirituelles." Leur jumelles spirituelles ? Comment ça ? « Comment ça vos jumelles spirituelles ? » Qu'est ce qu'il veut dire par la, Emma et Ame ont le même genre de pouvoirs que lui. Rah, je ne comprend absolument rien la. Bon au moins il y a quelqu'un qui va pouvoir s'occuper de nous. Je vois alors Chuck se mettre a s'excuser envers son yeux rouge. C'est étrange il a presque l'air gêné. Lui aussi doit en avoir un effrayant. « Et ne t'en fais pas, tu auras toute la douce musique que tu aimes. » Ahah, de la musique. Ça c'est quelques chose que j'aime. Mais bon la je n'ai qu'un seul bras de disponible donc ça risque d'être compliqué. Je le vois alors se diriger vers un violon et installer une certaine Zola sur le piano. Ils jouent des airs de musique classique, même si ils sont plutôt simple leur technique reste plutôt ok. Pour des amateurs quoi. J’attends alors que Yann s'occupe de ma blessure. Après ça je me dirige vers le piano et demande à Chuck. « Dit a te dérangerais de me laisser essayer de jouer au piano, même si il ne me reste plus qu'une seul main de valide sa devrais suffire » Mais cette main n'est tous de même pas mon plus gros handicap. Le pire dans tous ça. C'est que je n'arrive pas a me souvenir quel son font les touches du piano. Je me souviens ou je doit appuyer et presque toujours a quel moment. Mais c'est tous de même plus dur qu'avant. Je n'avais jamais réessayer de faire du piano en public depuis l'accident. J'ai l'espoir que cette endroit me fasse disparaître mon handicap. Après tous il se passe tellement de choses étrange ici. | |||
| Mar 7 Mai - 20:36 Aucun cadenas ne fonctionne. Quand tu demandes pour les jumelles spirituelles, Yann te sourit : « Elles sont jumelles spirituelles l'une pour l'autre et elles sont nos amies. Disons que ça fait d'elles nos jumelles spirituelles. En outre, leur relation ressemble à celle que j'ai avec Chuck. » Quand tu pars, Yann te regarde bizarrement. Chuck décale Zola pour te laisser une place. « Quel compositeur pour toi, petit prodige ? » Zola prend une mine boudeuse et Chuck sourit. « Et, tu n'as qu'à lui confier une ou deux notes. Elle apprend à jouer. Mais attention, je serais pas facile à suivre pour un petit garçon. » Il replace son violon et joue une petite mélodie pour attendre que tu t'installes correctement. Les filles te regardent depuis les canapés. | |||
| Mer 8 Mai - 6:48 Le Bal Le voir ainsi m’a complètement terrifiée. Il semblait tellement à bout de force. J’étais morte d’inquiétude. J’ai couru vers lui du plus vite que j’ai pu. Je ne suis pas sûre de pouvoir qualifier ça de courir vue la vitesse que j’avais avec cette tenue mais j’ai fait de mon mieux. Quand je n’étais plus qu’à quelques mètres de lui j’ai perçu comme un murmure. Je crois qu’il demandait de nos nouvelles, à Opalie et moi. Mais c’était clairement pour lui qu’il fallait s’inquiéter. Je ne sais pas ce que je ferais si je devais le perdre. Une fois assez près, je me jette presque au sol pour le prendre dans mes bras. « Marceau ! Que t’est-il arrivé ? J’ai eu tellement peur quand je t’ai vue par terre ! » Pendant que je lui criais mon inquiétude je n’ai pu retenir mes larmes. Très vite, elles ont mouillé sa veste. Cela m’était égal. Tout ce qui comptait c’était qu’il n’était pas mort. Toujours en larme j’ai poursuivis ma plainte : « Je t’ai vue par terre et j’ai crue... J’ai eu si peur de te perde ! Je serais perdu si tu devais m’abandonner ! » Je sanglotais ensuite tellement fort que ce qui a suivi à due lui être incompréhensible. « Tu ne peux pas m’abandonner ! Je serais trop perdu ! Tu es tout mon monde Marceau ! Je t’aime tellement ! » 237 mots/ Codage par Libella sur Graphiorum | |||
Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7258 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Jeu 9 Mai - 14:29 ▼ ▲ Le Bal(530 mots) Devant l’insistance de la danseuse, Roméo ouvre les yeux ronds. Il ne s’attendait, visiblement, pas à ce qu’elle porte un autre nom de Whispers ou de Leinwand. Dans sa surprise, il poursuit son italien : « Oh ! Moi Dio ! » Maintenant empli de gêne et d’embarras, il se gratte nerveusement l’arrière de la tête. Ce geste, comme beaucoup venant de lui, a le don d’attendrir Tintallë. Mal à l’aise, il se confond en excuse : « Toutes mes excuses, mademoiselle Thalos… Il me semble avoir manqué à mes devoirs de galanteries par deux fois… » Là-dessus, il marque une pause, cherchant certainement ces mots. Laissant le temps à la belle de s’outrer intérieurement. Pour elle il est clair qu’il n’a pas du tout été galant, si ce n’est, bien entendu, dans son vocabulaire. Et encore, prenant en compte le changement perpétuel de langue, il n’a eu de cesse d’être froid et déstabilisant. Ne la laissant pas pousser sa réflexion plus loin, Le beau brun ajoute : « Il m’aurait fallu attendre votre présentation. Je vous ai jugé à la couleur de vos yeux, si atypique, et je n’aurais pas dû… » Pendant son discours, Tal se fit la réflexion que ces fameux yeux doivent appartenir à des gens important pour être reconnu si facilement. Peut-être pourrait-elle jouer le jeu. Dire qu’il vienne de ses ancêtres mais qu’elle reste fière de son nom de famille actuel. Qu’elle est agacé de n’avoir de cesse de s’expliquer. Ainsi, son interlocuteur ne le prendrait surement pas mal et elle pourrait finir par se faire appeler Whispers. « En outre, j’ai moi-même oublié de me présenter à vous. » Sous les yeux éblouis de la charmeuse, Roméo s’incline. Une fois à bonne hauteur, il saisit sa main. Le teint de la rousse se rapprochait, maintenant, dangereusement de la couleur de ses cheveux. « Je me prénomme Roméo et appartient à la famille italienne Maniglio. Vous rencontrez fut un véritable enchantent. » Les questions et les émotions se bousculaient dans la tête et le cœur de Tintallë : Souhaite-il faire de l’humour en parlant d’enchantement ? Est-ce de la drague ? La famille Maniglio est-elle importante d’une quelconque façon ? Pourquoi tant de manières dans son expression orale ? Est-ce une tradition familiale ? Est-ce qu’elle lui plait autant que l’inverse peut être vrai ? Mais, dans tout ce remue-ménage de sentiments, elle a obtenu une réponse : Il crie de l’italien car il s’agit de sa langue natale. Complètement emportée, la danseuse a failli oublier de lui répondre. Elle s’exécute aussitôt : « Je comprends, cette couleur est pour le moins singulière. Assez exceptionnel pour que j’accepte, à l’occasion, de porter ce nom. En revanche, mes parents ont choisis de me doter de celui de Thalos. J’ai ressenti l’envie, face à vous, de m’exprimer entièrement. Mais je serais honorer de me faire nommer par le nom de mes ancêtres. Ce nom sonne de la plus belle des façons à vos lèvres. » A peine sa prose fini que la belle se questionne sur le français qu’elle à employer. Est-il assez raffiné ? Mais, ce qui l’inquiète le plus c’est d’avoir été trop avenante. | ||
| Ven 10 Mai - 15:13 Tintallë : Il sourit et peine à cacher son amusement. « Bien, faisons-cela alors, mademoiselle Whispers. » Il jeta un regard inquiet vers la table où se trouvaient désormais Lotti, Yann, Emma et Ame, tandis que Chuck, Samui et Zola avaient rejoints le piano. « Préférez-vous saluer ces demoiselles en premier, ou aller directement parler à l'homme au bracelet ? » Il te toise avec une impatience mal retenue. | |||
| Dim 12 Mai - 15:08 Le Bal [Masqué] Ouais, mais peut-être aussi qu'il est avec les yeux rouge. C'est un peu monsieur privilège, alors... pourquoi pas. Et puis, Sainte Rosalie, avant Anastasia et Edward, c'était à lui. Je ne vois pas pourquoi il serait mélangé avec ces enfants... « Marceau ! » Perle. Mon nom, son nom. Réflexion très logique, Marceau, presque aussi intelligent que d'habitude. Ouais, tu retrouves tes facultés mentales, c'est sûre. « Que t'est-il arrivé ? » Alors. Question difficile. Soit je te ment et te préserve des araignées... soit je te dis toute la vérité et tu me prends pour un con... hum... cette présentation me paraît biaisé... maman pense que, dans les situations difficiles, il faut essayer d'être honnête. Sinon, comment elle peut m'aider ? Bah elle peut pas ! Mais tout est tellement trouble... comment je suis sensé faire ? Par où ça a commencé... ? « J'ai eu tellement peur quand je t'ai vu par terre ! » Merde. Elle va pleurer ? Attend ! Elle m'a vu par terre ? Haha, pas glorieux... Ouais, pas glorieux du tout. Bon. Elle a l'air inquiète. Elle va péter un câble si je lui dis tout. Et puis, on est là, tous les deux. On se fiche de ce qui a pu arriver ! « Je t'ai vue par terre et j'ai cru... » Elle pleure. Sa voix est déchiré. C'est moi qui ait fait ça ? Merde, Marceau, achète toi du talent, putain ! La plus belle femme du monde est en larme à cause de toi. « J'ai eu si peur de te perdre ! » Merde. Merde. Merde. Je fais quoi ? Je suis sûre qu'elle parle, mais je pige rien. Je suis comme paralysée, détrempée des larmes de paradis. Je ne peux pas la laisser partir en morceau. Tout se relâche, Marceau passe en mode auto. Mes bras s'enroulent autour de son corps frêle, qui me paraît alors si fragile. Que faire d'autre ? Elle est là, belle dans sa peine, elle pleure. Mon cœur saigne. Je la serre encore, comme si sentir son cœur emballé me donnera la force de réparer son âme, d'endiguer ses larmes. Je souffle : « Tout va bien... » C'est comme si tout mon être formait un cocon autour d'elle. Plus rien n'existe, sinon elle et moi. Je ferme les yeux et caresse tendrement son dos. Plus jamais je ne la ferais pleurer. Plus jamais je ne la laisserais seule, terrifiée. Je ne veux plus sentir ses terribles larmes sur ma peau, ces larmes de merveille. Je les sens qui me transpercent comme si elles étaient faites d'acides. « Je suis là... » Je retiens mes larmes dans mes yeux et respire son doux parfum. Je m'envole alors, certain d'avoir retrouvé le paradis. La chute, la douleur, la peur, la mort, tout ça n'est rien. Elle est là, contre moi, et elle va bien. Voilà ce qui compte. Codage par Libella sur Graphiorum | |||
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