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[LB][LI]La rencontre de ma vie | |
Jeu 14 Mar - 17:16 Lieu précis : Pensionnat Saint François, Chambre de Samui Date : 10 Mars 2019 Heure : 17h00 Petite mise en situation : Emma, trop malade de l'absence d'Ame, va la voir dans la chambre de Samui. URL du RP : ### Statut : Libre Tours : Libres Titre du RP : La rencontre de ma vie  | ||
Mer 20 Mar - 0:15  Bon voilà maintenant quelques heures qu'Ame est arrivé. On a eu le temps de parler de pleins de choses. Y compris de comment aménager la chambre. C'était vraiment angoissant de la voir comme ça. Elle veux que tous soit parfait et parfaitement a sa place. Je déglutis alors. Mais bon elle est sortit prendre l'air il y a quelques minutes. Ça me laisse un peu de temps pour respirer et reprendre mes esprit. Je pense que ça c'est bien passer, enfin bon moi et le relations social. Je me tourne alors vers le bocal prêt de mon bureau. « Et toi Blob qu'est ce que tu en pense, ouai t'as pas tord j'ai peut être un peu merdé au début mais bon je suis pas super a l'aise avec elle. J'ai pas l'habitude des us et coutume Japonaise. J'ai jamais connu ma mère je te rappel » « ….... » « Mais oui c'est ça moque toi de moi, comme si je pouvais y faire quelques choses a ces cheveux incoiffable. Et laisse tomber on en a déjà parler je ne les couperai pas » Il faudrait peut être que j'arrête de parler a ce pauvre poisson un jour, il va finir traumatisé. Puis qu'est ce que j'angoisse. Emma va bientôt arrivé. C'est Ame mais en beaucoup plus cool de ce que j'ai compris. Enfin... je crois je ne suis plus trop sur de moi. Après avoir passé cette après midi avec Ame je me sent comme.... transporté dans un nuage de bonheur. Un peu comme dans la pub kinder. Mes talents en placements de produit n'ont donc aucune limite... Bon demain matin il va falloir que je refasse la même préparation pour l'arrivé d'Emma, le tous sans réveiller Ame. Même si il y a de grande chance que ce soit elle qui me réveille. Je me met alors un peu plus a l'aise déboutonne un peu ma belle chemise et m'étale sur mon lit « Ah, la vie c'est vachement cool parfois Blob » A ce moment quelqu'un toqua a la porte. Ame ne va quand même pas toquer a la porte de sa propre chambre a chaque fois, ça timidité la force a avoir tant de politesse ? Sa vie doit être compliqué enfin bon. « Tu peux rentrer Ame c'est ta chambre a toi aussi » A ce moment la la personne derrière la porte toqua a nouveau. Mince soit on a une super isolation phonique. Soit ce n'est pas Ame. Bon je penche plutôt pour la bonne isolation. Je me lèvre alors de mon lit. Et me dirige vers la porte. Je pose ma main sur la poignée et a ce moment la. Je suis pris de stupeur. Non c'était Emma j'avais totalement oublié qu'elle pouvais venir aujourd'hui. Ah quelle cata, en plus je suis tous débraillé. Mon cerveau me joue des tour. Mes joues commence alors a devenir rouge carmin. « Heu... Excusez moi je n'avais pas vu l'heure, je pensais que.. » Et je bloque alors sur cette phrase. Se dressais en face de moi une femme qui sortait tous droit de mes rêves et ça pour la deuxième fois dans la journée. | ||
| Mar 26 Mar - 0:29 17h00. C’était ce qu’avais prévu Gwenlian. C’était très précis, et j’étais évidemment contrainte de m’y tenir. En regardant ma montre, je grimaçais. Evidemment. 16h45. Il me restait encore un long quart d’heure à tenir, avant de retrouver Ame dans notre chambre. Enfin… sa chambre. Apprendre que nous serions séparées fut un véritable choc. Dans le simple but de nous garder systématiquement rapprochées, Gwenlian D’Hombre avait consentie à m’envoyer dans ce pays de discriminants… alors, quand j’ai appris que nous serions séparées, j’ai failli choir. Je crois que je ne me suis pas remise de la séparation. Le moment où les affaires d’Ame ont été mise dans le coffre de cette voiture… j’en ai des frissons. « Emma. » Je me retourne vers la porte, toujours debout devant ma fenêtre. C’est mon frère, évidemment. C’est pour lui qu’on est venu, au départ. C’est pour lui que j’ai abandonné ma petite Ame. C’est pour lui qu’elle a abandonné sa précieuse éducation japonaise. Je me retourne enfin complètement et lui fais face, le plus calmement du monde. « Mika. » Il a ce petit sourire de frère, ce sourire « très français », comme dirait Ame. Je le regarde avec de la glace dans les yeux. Elle m’avait appris la froideur et la distance, tout en étant mon volcan quotidien. Je sentais chaque centimètre qui me séparait d’elle comme une autre scille qui se frayait un chemin dans mon crâne. Elle était loin, certainement. « Tu n’as pas terminé ta chambre ? » Mon regard s’assombri. Sans doute la noirceur de ma peine s’était-elle infiltrée dans mes yeux. Il grimaça. J’avais arrêté de bouger voilà un moment. Toute cette distance me rendait incapable de faire quoi que ce soit. Mes membres félins s’agitaient sans que je ne sache pourquoi. Je souffrais et elle vivait des choses que j’ignorais. Et elle souffrait tout autant. « Peu importe. » Il avait le visage complètement déformé par son expression. J’aurais bien ri, si je n’étais pas déchirée par la souffrance. A la place, je restais neutre, parfaitement stable. « Le Japon ne t’a pas fait du bien… » Il sortit, et je savais qu’il allait plaider ma cause. On se connaissait peu, lui et moi. Mais il était humain, et ne connaissait pas ce que je connaissais avec Ame. Pour lui, j’étais sa petite sœur. C’était une priorité. … Ainsi, j’ai pu être escortée au pensionnat Saint François, jusqu’à ma chambre. Je saluais l’employée qui partait aussitôt. Alors que sa silhouette se fondait dans un angle, je frappais à la porte, fort et distinctement, en trois coups sec. Il ne fallut qu’une seconde pour qu’une voix ce fit entendre de derrière la porte : « Tu peux rentrer Ame, c’est ta chambre à toi aussi. » a. Ame est sorti. b. Ce garçon se permet de la tutoyer. c. Il n’a pas pris la peine de prêter attention à l’heure. Je soupirais silencieusement. Ce jeune homme ne réalisait sûrement pas encore sa bêtise. Je resserrais la prise sur mon violon. Je jouerais pour Ame et tout ira mieux. Je jouerais pour Ame et tout ira mieux. Je jouerais pour Ame et tout ira mieux. Je répondis à son indication, qui ne m’était pas destinée, par trois nouveaux coups contre la porte, qui vibrait sagement sous mes doigts. Je m’installais à nouveau, droite et parfaite, devant la planche solide et effrayante. Qui était donc ce jeune homme, déjà si proche de MA Ame ? La poignée s’abaisse. La porte s’ouvre et grince. Apparaît alors un jeune garçon, sans doute plus âgé que moi. Sa peau est celle d’un mort et ces cheveux ceux de la mort elle-même. Il a l’air épuisé, débraillé et mal entretenu. Il a surtout l’air particulièrement étonné de me voir. Espérons que son premier discours soit à la hauteur… « Heu… » Raté. Dommage, il serait presque bien parti… ce physique malingre est plutôt bien vu, au japon. Leur culture aurait déteint sur moi ? Je l’aurais presque trouvé mignon. Mes oreilles battent, signe qu’Ame fait face à une incompréhension. Sans doute s’inquiète-t-elle de sentir la douleur diminuer soudain. Elle s’approche de moi, je le sens. « Excusez-moi, je n’avais pas vu l’heure, » Cela me semble évident. Sans doute devrais-je mettre cela sur le compte de la distraction ? Ame est une fille divertissante, très belle et… aménager sa chambre devait être compliqué… donnons-lui de quoi se rattraper. « Je pensais que… _Que j’arriverais demain. Je comprends, vous savez. Je peux entrer ? » Je penchais doucement la tête pour suivre mon interrogation, la main fermée sur mon violon, un sourire illuminant mon visage. Si Ame l’apprécie, il doit être quelqu’un d’extraordinaire. Je vais l’attendre et voir ce qu’il en est… | ||
| Jeu 28 Mar - 1:30 Se lever, aller ouvrir la porte. J'espère qu'elle va vit se rendre compte qu'elle est chez elle. Mais au moment ou j'ouvre la porte je bloque. Ce n’étais pas Ame. Cette fille lui ressemblais beaucoup, queue, oreilles, yeux félins. Une magnifique chevelure blanche arrivait juste au dessus de ses épaules. Des yeux bleu presque comme un océan après une tempête. Mon cœur battait a nouveau la chamade. Comme ce matin, avec Ame. Je n'arrivais pas contrôler ce sentiment et une chaleur continuais a envahir mon corps je ne pouvais pas l'arrêter. « Je pensais que… _Que j’arriverais demain. Je comprends, vous savez. Je peux entrer ? » Je crois que... non ça va bien se passer. J'ai pas fait trop de bêtise. Puis j'ai beau être un peu débraillé , c'est tout a fait normal pour un étudiant qui arrive en fin de journée. Et je suis sur qu'elle est arrivé en avance... enfin je crois. Je ne sais plus et peu importe, il est temps de se rattraper. Elle inclina légèrement la tête et souris afin d'accentuer son interrogation ? Mais c'est beaucoup trop mignon. Ah je sent mon cœur fondre ça va plus la. Allez hop hop hop on reprend ses moyens. « Biensur entrez. » Je lui ouvre alors entièrement la port et lui fait un signe de la main afin de l'encourager a entrer. Bon elle est sûrement venu voir Ame. « Excusez moi mademoiselle je présume que vous êtes venue voir Ame ? » Bon sa semble un peu obvious mais bon, autant lancer la conversation. Nan mais je vous jure les long silence sa me fait froid dans le dos. J'ai des frisson rien que d'y penser. Alors s'il te plaît pas de malaise enchaîne . « Elle est sortit prendre l'air quelques minutes en attendant asseyez vous, le lit d'Ame se trouve la » Je pointe alors le lit d'Ame du doigt. | ||
| Ven 29 Mar - 4:07 C'était le plan le plus sûre, sur le moment. Observer et attendre, écouter et analyser. C'est ainsi qu'on apprend comment agir avec tel ou tel personne. C'est ainsi que Gwenlian me l'a enseigné, ainsi que les D'Hombre font. Pour une fois au moins, je devais rendre honneur à ma famille. Sois la meilleure version de toi-même, Emma. Tu en es capable. « Bien-sûre, entrez. » La porte finit de battre et il me fait signe d'entrer, coupant court à mes réflexions. Il me vouvoie, ce qui est un bon et mauvais point. D'une part, ça montre sa politesse et son respect. D'autre part, ça montre qu'il ne se sent pas proche de moi. Ou peut-être simplement que la timidité d'Ame l'a effrayé. Après tout, je ne sais rien de leur échange... Quoi qu'il en soit, j'entre immédiatement, à pas mesurés. « Excusez-moi mademoiselle, je présume que vous êtes venue pour Ame ? » Mademoiselle ? Il a peur de dire mon prénom ? Attendez. Il s'adresse à Ame en l'appelant... « Ame » ? Elle a tellement l'habitude qu'on l'appelle Koori... elle doit être terriblement mal à l'aise ! Comment ose-t-il ? Hum... ou alors il évite, en face d'elle ? C'est sans doute sa réaction qui lui a inspiré ce « mademoiselle ». Bon, il présume bien. Et le fait qu'il m'en parle me décharge d'un poids : il aurait été très impoli de le dire clairement. Je souris pour lui indiquer qu'il a raison et je ne démens pas. Pour autant, je ne confirme pas d'avantage. « Elle est sortie prendre l'air quelques minutes. En attendant, assez-vous, le lit d'Ame se trouve là. » Il aurait pu me le désigner d'une arabesque élégante ou d'un regard discret. A la place, il me l'a maladroitement désigné de son doigt impoli. J'ai souri, amusée, mais au fond, cela m'effrayait. Et si Ame prenait ces manières ? Je me suis dirigé vers le lit, ai posé le violon contre ce dernier et me suis installé. « Il me semblait que nous devions nous rencontrer quoi qu'il en soit, monsieur Lafleur. » J'ai observé la chambre qui, visiblement, avait déjà connu des travaux. J'ai vite repéré les affaires d'Ame et celles de Samui. La différence de marque et de style était si flagrante qu'on aurait dit qu'ils étaient menacés pour cohabiter. J'ai souris à cette idée. Ame devait forcément avoir subit beaucoup de pression pour accepter cette ineptie. J'ai regardé vers Samui. Pourquoi mademoiselle ? Nous sommes entre français civilisés... il ne me semble pas du tout détecter de manières japonaises en lui... « Excusez mon manque de délicatesse, cher ami, mais il me semble judicieux que nous commencions à nous tutoyer, ainsi qu'à employer nos prénoms. Après tout, nous partagerons beaucoup de temps... ne pensez-vous pas ? » Je me suis évertuée à rester le plus poli possible. Sans doute préférerait-il la familiarité, mais le stress avait tendance à me faire tomber dans les extrêmes, et je ne voulais pas devenir grossière. J'ai essayé de ponctuer par un sourire, mais les mouvements de mes membres de chat me stressaient énormément. Je sentais qu'Ame était agitée, et je ne savais pas du tout pourquoi. Sa queue ondulait dans mon dos, et ses oreilles battaient à toute vitesse. | ||
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